La colocation
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
Inceste / Tabou
école,
amour,
Oral
pénétratio,
init,
... deux. Je peux faire des efforts, dis-je hypocritement.— Toi ? Tu es incapable de faire autre chose que de penser à toi. Tu me proposes de faire des efforts uniquement parce que tu sais que si je rentre chez moi, l’appart, c’est fini pour toi.— De quoi ? C’est quoi cette histoire ?— Ah ! Tu n’es pas au courant ? J’ai entendu tes parents parler avec les miens, il n’est pas question qu’ils te laissent vivre tout seul ici. Ils n’ont pas confiance en toi.— Ce n’est pas vrai ? Tu dis cela pour te venger ?— Oh non, c’est la pure vérité, et si je pleure, c’est qu’à cause de toi, moi aussi je dois dire au revoir à cet appart, mais toi tu t’en fous, tu vas rentrer chez tes parents, retrouver ta chambre et reprendre tes habitudes, alors que moi je vais de nouveau devoir partager ma chambre avec ma sœur. Ne plus avoir d’intimité. Cette chipie va encore fouiller dans mes affaires à longueur de temps.— Ecoute, tu ne veux pas quitter cet appart et moi non plus, c’est la première fois que nous sommes d’accord sur quelque chose. C’est un début. Je sais que j’ai tout fait pour te pourrir la vie, mais ce n’est pas moi. Je ne suis pas comme ça. Je te promets que les choses vont changer, fais-moi confiance. Je t’en supplie. Que le destin peut être cruel, j’étais venu pour savourer ma victoire, achever ma victime et au final c’était moi qui suppliais grâce. Voyant le doute s’installer dans son esprit, j’ajoutais : — Ecoute, ça ne te coûte rien d’essayer, si je ne change pas, tu pourras toujours ...
... en parler à tes parents et rentrer chez toi. Mais ça vaut le coup d’essayer, non ? Allez, donne-moi encore une chance. Je m’excuse, j’ai vraiment été con. Je te promets d’être irréprochable.— Ça ne peut pas marcher, tu me détestes.— Mais pas du tout, on fait la paix ? Pour lui donner une preuve de ma bonne volonté, j’attirais doucement sa tête dans le creux de mon épaule et continuais à lui caresser doucement les cheveux. Elle continua à sangloter et je compris tout le mal que je lui avais fait. Elle leva ses yeux vers moi et le plus tendrement possible je lui séchai ses larmes. Son visage était tout proche du mien. Ce n’était plus mon horrible cousine qui était dans mes bras mais une fille très touchante. Je déposai un léger baiser sur ses yeux. Elle me regardait intensément. Alors que j’allais de nouveau l’embrasser sur les yeux, elle leva la tête, et m’embrassa sur la bouche, presque « accidentellement ». Le moment de surprise passé, je l’embrassais, à mon tour sur la bouche. Nos langues se rencontrèrent. Elle se lova contre moi, et mis sa main sur ma nuque. Je me tournais légèrement pour lui faire face et sentir son corps contre le mien. Ses seins s’écrasaient contre mon torse. Ma main droite lui caressait le bas des reins. Nos chastes baisers du début étaient devenus de fougueux baisers. Je sentais mes sens s’échauffer. Ma main droite descendit sur ses fesses, et je sentis, au travers de son peignoir, l’élastique de son slip. Ce contact m’électrisa. Presque aussitôt, elle ...