Ma stagiaire est conne... J'aime ma stagiaire - Histoires de Sexe

Ma stagiaire est conne... J'aime ma stagiaire

... lui rende ses soutiens-gorge. Elle a continué, souriante-gênée : — Vous aimez mes tétons ? C’est gentil de me le dire. C’est vrai qu’ils ont une belle couleur et qu’ils sont toujours durs depuis que je ne porte plus de soutien… C’est comme au cours de dactylo.— Vos tétons ?— J’ai trouvé comique que vous terminiez votre lettre par un salut à mes tétons, vous êtes un poète… Là, j’avais besoin d’explications. — Un salut à vos tétons dans ma lettre ? Montrez ! Elle a souri et a posé ses mains sur le haut de son chemisier comme pour l’ouvrir. — Montrer mes tétons ?— Euh, non, la lettre ! Montrer la lettre.— Ah ! Montrer la lettre ? Voici. Je me suis relu. — Mademoiselle, il est vrai que j’ai tapé « Sincères salu taitons », en bas de page. C’est une simple faute de frappe, je voulais écrire « salutations », une simple inversion. Si vous inversez le i et le t, on est bon. D’ailleurs téton s’écrit avec e accent aigu, pas avec a i. Excusez-moi. Vous comprenez ? Je n’aurais pas osé…— Ah bon… Dommage, je croyais que j’avais de jolis tétons… Elle avait l’air un peu déçue. J’ai essayé de me rattraper : — Mais non, ce n’est pas ça que j’ai voulu dire. Je suis certain que vous avez de très jolis tétons ! D’ailleurs, tout bien réfléchi, tout compte fait si vous voulez, vous pouvez me montrer…— Montrer mes salutations ?— Non… Ma stagiaire est conne,mais ma stagiaire a de splendides nichons… Malgré la crampe, j’ai repris le travail. En fin de journée, j’ai regardé le dossier de stage que ...

... Natacha m’avait remis. Je m’en suis occupé en deux secondes. J’ai dit que tout va bien, je n’allais pas faire un état des erreurs et incapacités ni des avantages 85 C. J’ai coché les cases bonnes et dans les emplacements pour les commentaires j’ai mis rien à signaler, j’avais autre chose à faire que la promotion des stagiaires blondasses à tétons frémissants. Le lendemain Natacha m’a remercié pour le rapport et m’a assuré qu’elle allait bien appliquer mes recommandations. — Quelles recommandations ? Le week-end s’est passé et voici un lundi de merde. Yvonne absente, Marcel Demesmaecker qui veut modifier sa commande, des factures qui tombent, des clients qui ne paient pas… À dix heures, j’ai vu mon café habituel arriver sur mon bureau. Mais pas le temps de le prendre. J’ai regardé Natacha sans la voir. Elle a toussoté : — Ça va comme ça, monsieur ?— Non ça ne va pas Natacha, ça ne va pas, lui ai-je répondu sec. Elle est sortie en pleurnichant. J’ai juste eu le temps de remarquer qu’elle avait troqué son habituel blue-jean pour une jupe relativement courte et puis je me suis replongé dans mes papiers. Et voilà mon café de onze heures. Nouveaux toussotements. J’ai tout de suite levé le regard pour croiser celui de Natacha qui fuyait vers le bas… J’ai alors eu la très bonne idée de suivre le chemin de ses yeux et qu’y avait-il vers le bas ? Pas de bas. Des jambes nues, toutes nues. Mollets nus, genoux nus, cuisses entièrement nues surmontées d’une micro-jupe qui laissait jusqu’à ...