1. Ma stagiaire est conne... J'aime ma stagiaire


    Datte: 07/07/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail fépilée, neuneu, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral humour,

    ... entrevoir ce petit creux entre cuisses, juste à l’orée de la clairière. Étonnant, provoquant. Tout à l’heure elle avait mis une minijupe maintenant il n’y avait plus de jupe du tout. Qu’est-ce qui lui arrivait à ma petite stagiaire ? Son salaire était fixé, pas de possibilité d’augmentation… Je ne comprenais pas. Du moins avec mon cerveau ! Mon pénis, lui avait tout compris. Quelles cuisses ! — Ça va mieux comme ça monsieur ? Là c’était moi qui étais troublé. Je n’ai trouvé rien d’autre à dire que : — Ça va, ça va Natacha, merci. Vous êtes magnifique comme ça. Elle est sortie en souriant. Quelles jambes, quel cul ! Superbe. Waouh ! Ma stagiaire a un QI nulmais quel cul ! Mon trouble est resté un moment. Je devais comprendre. Qu’a-t-il bien pu se passer dans le neurone de cette petite ? — Natacha, vous pouvez venir un moment dans mon bureau ? Elle est entrée toujours gênée. — Oui monsieur, monsieur désire ? Oui bien sûr je désirais mais je devais rester un patron inflexible devant une petite stagiaire sexy. Je lui ai désigné les fauteuils bas. — Asseyez-vous Natacha, asseyez-vous, j’aimerais un peu discuter avec vous du travail. Mince, j’ai avalé ma salive. S’asseyant devant moi, les jambes les plus serrées possibles, j’ai vu plus loin que le petit creux. J’avais une vue parfaite sur une petite dentelle blanche. Sa culotte, je voyais parfaitement sa petite culotte que sa micro-jupe ne savait plus cacher… Concurrence de mauvaise qualité mais là, je tombais quand même sous le ...
    ... charme. Avis de professionnel, avis de professionnel. J’ai essayé de reprendre mes esprits. Des culottes j’en avais vu des tonnes, ça ne devait pas m’impressionner. C’est quand même pas parce qu’un de ces petits bouts de coton second choix moulait une petite chatte que je devais être troublé. Ce n’est pas le début d’une petite fente bien dessinée et du coton humide qui doivent distraire un homme d’affaires honnête ! J’ai suivi les conseils de mon ex-professeur en communication. En cas de balbutiements, de trac, de stress : se mettre à l’aise, respirer, ajuster sa voix, bien poser les pieds par terre. Mais où je mets ma bite ? Je suis quand même arrivé à commencer un long discours sur le travail, un discours rassurant qui a eu l’effet de détendre l’atmosphère et les cuisses de ma stagiaire. La vue était de plus en plus agréable. On pouvait rentrer dans le fond du problème. — Ma chère Natacha, j’ai constaté un changement important dans votre tenue ces jours-ci. L’air embêtée, elle a tout de suite mis sa main sur sa poitrine la faisant ressortir encore plus. Elle est partie dans des explications nerveuses. — Mes seins ne tiennent pas bien, c’est ça ? Vous savez, me promener sans soutien-gorge m’excite un peu, ça se voit trop ? Je peux mettre un papier collant sur mes mamelons pour qu’ils ne pointent pas trop si vous voulez. Ou alors je vais demander un soutien à prêter à une copine.— Du papier collant ? Ça ne fait pas trop mal quand on l’enlève ? … Non vos seins sont très bien ...
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