La reine des fourmis
Datte: 09/07/2021,
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... par la manière dont se comportaient ses premiers flirts. Trop timorées à son goût, faisant les mijaurées, serrant les cuisses, alors que lui, certain que les choses pouvaient merveilleusement se passer, était obligé de freiner ses ardeurs et son imagination. Il en était frustré et n’imaginait pas un seul instant qu’il puisse tomber amoureux d’une fille sans ébat sexuel digne de ce nom. Il n’avait que des bonnes copines, un peu effrayées par son audace. Il s’en ouvrit à sa mère, laquelle comprit fort bien son sentiment. Puisqu’il en était ainsi, il était inutile qu’il ronge indéfiniment son frein avec des filles de son âge. Il était précoce, il fallait donc lui trouver chaussure à son pied. Il aurait bien le temps plus tard de s’assagir. Elle sut faire les choses. Elle amena un beau jour d’été une amie à la maison, qu’elle lui présenta comme une collègue. Il soupçonnait qu’il s’agisse en réalité d’une compagne de jeux. Elle était plus jeune que sa mère, 30 ans environ, et représentait l’archétype parfait de la pin-up sur papier glacé : blonde, les dents d’une blancheur éclatante, le visage ovale, une bouche charnue sur un sourire mutin, des formes rondes et généreuses. Sa mère prétexta une course à faire et s’éclipsa avec un clin d’œil furtif en lui suggérant de faire les honneurs du jardin à la charmante demoiselle par cet après-midi de chaleur. La jeune femme, pas farouche, se mit immédiatement à l’aise. Elle se défrusqua et s’allongea sur un transat, vêtue d’un bikini. Ils ...
... se parlèrent très peu, mais elle était autant attirée par son regard de prédateur en herbe, que lui par sa plastique irréprochable. Alanguie, elle déclara qu’il faisait décidément très chaud, n’est-ce pas, et que si elle osait, elle enlèverait son maillot, d’autant plus que le jardin était à l’abri du regard des voisins. Sans attendre sa réponse, elle se dévêtit prestement. Le maillot d’abord, puis la culotte. Elle vit qu’il bandait, et les choses allèrent très vite. Elle s’approcha de lui et commença par lui offrir sa bouche. Comme elle était goulue, il jouit rapidement. Elle ne se formalisa pas et le déshabilla à son tour, l’embrassa sans vergogne, lui apprenant l’art de rouler une pelle, le lécha partout, le branla pour que sa queue retrouve sa vigueur. Il banda à nouveau, alors elle entreprit de lui apprendre les rudiments de l’amour. Elle s’empala sur lui, à califourchon, en ondoyant bien du cul, prenant ses mains pour qu’il lui caresse les seins, l’engageant à profiter d’elle sans limite. Puis elle l’initia à la levrette, lui rappelant que les femmes, sous des airs de pudeur, adorent être prises comme des chiennes et que, s’il avait envie de lui claquer les fesses en même temps, ça ne faisait que rajouter au plaisir puisque c’était le but recherché. Du plaisir, elle en prenait autant que lui parce qu’il était remarquablement doué pour un débutant de 15 ans. Elle lui dit d’ailleurs : — Ta mère ne s’est pas trompée ! Il la besognait sans fébrilité mais avec l’assurance de ...