1. La reine des fourmis


    Datte: 09/07/2021, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, inconnu, copains, groscul, magasin, caférestau, boitenuit, anniversai, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, Oral légumes, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, portrait, initiatiq, initfh, bourge,

    ... la bougresse ! — Oh putain… Il a soufflé ça à voix basse, la tête inclinée en arrière. Oui, tu l’as dit : putain ! S’il savait ce qu’elle ressent elle-même… Laisser explorer sa nudité dans le noir à un type qu’elle ne connaît ni d’Adam ni d’Ève pendant qu’elle est en train de le sucer, ça le fait, quand même ! Au fur et à mesure qu’il promène sa main sur sa peau, qu’il découvre ses formes, elle mouille de plus en plus. Son excitation de se livrer ainsi est à la mesure de celle qui envahit son « hôte ».Ça t’excite à mort de découvrir mon corps nu, se dit-elle,moi ça m’excite à mort que tu me palpes pendant que je te suce ! Elle entend un froissement derrière elle. C’est l’autre, qu’elle avait oublié, tout occupée à son œuvre. Elle entend son souffle qui s’approche. Puis elle sent une nouvelle main, plus froide, qui se pose sur sa croupe. Les voilà tous les trois en enfilade dans ce passage étroit. Les mains des deux hommes se rencontrent sur elle, en elle presque. Le nouvel arrivant semble peu enclin aux contacts avec un homme : — Laisse-toi pomper le dard. Son cul, il est pour moi. Et s’adressant à elle : — J’ai apporté quelque chose qui devrait plaire à notre amatrice de cucurbitacées. Tu es déjà toute mouillée, huilée même, une bonne dinde prête à farcir. Tout en continuant de lui débiter toutes les insanités qui lui viennent à l’esprit, il s’est agenouillé, se branle d’une main et explore les orifices qui s’offre à lui avec ce qu’il faut de douceur et d’insistance. Rien ...
    ... à dire, le recrutement a été de qualité, rien que des mecs bien montés qui ont bien compris que le centre de toute l’affaire, c’est le plaisir d’Alice. Il n’a pas trop de cinq doigts pour visiter à la fois son vagin, sa rondelle et son clito, qu’il cerne d’un mouvement circulaire et léger qui la rend folle de mouille et de désir. Sa bouche délaisse un instant la bite qui l’occupait pour prononcer : — Viens dans mon cul, vite, viens! Il ne se le fait pas dire deux fois. Il écarte bien les fesses charnues et entre sans effort. Il marque une petite pause dans le vestibule puis s’enfonce jusqu’à la garde, la sentant gémir d’impatience. Les voilà partis pour une valse à trois temps dans un mouvement bien réglé. Elle est une turbine besognée par deux pistons bien synchronisés. Elle ne sent plus le carrelage sous ses genoux, elle ne voit plus les lueurs blafardes des sorties de secours, elle ne sent plus l’odeur âcre du détergent dont on a lessivé le sol. Elle est un tube où viennent s’enfoncer deux autres tubes lui procurant à chaque glissement une alternance de vides et de pleins. À chaque retrait, elle s’élargit pour se remplir encore. Toutes ses muqueuses sont enivrées par cette envoûtante caresse intérieure. Le goût amer qui lui envahit la bouche lui rend le libre usage de ses mains et lui permet de s’abandonner entièrement à la fulgurante intrusion de ses entrailles. L’homme qui tenait le rôle de la sucette géante a la bonne idée de se mettre en boule à terre devant elle pour ...
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