La reine des fourmis
Datte: 09/07/2021,
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... odeur de transpiration et une assez nette odeur de crème Nivéa. Voici un fauve qui doit avoir la peau bien douce. Elle ferme tout à fait les yeux et ne se fie plus qu’à son odorat. Enfin, elle saisit une branche tiède, souple et ferme, humide au bout, elle le tient. Elle le tient par le bon bout. Elle remonte doucement le long de cet impressionnant appendice jusqu’aux hanches, aux fesses, si fermes qu’elles pourraient servir de casse-noix. On dirait que le chasseur s’est délesté de ses oripeaux civilisés pour se rapprocher de sa proie. D’ailleurs, qui chasse qui ? Qui mange qui ? Pour l’instant, c’est elle qui poursuit du bout des lèvres son investigation. Elle suit la ligne qui va de la toison pubienne au nombril où elle risque une langue curieuse. Elle remonte en faisant glisser sa joue le long d’une impeccable ceinture abdominale dont chaque aspérité frémit à son passage. Elle goûte un téton qui s’affermit et devient tout grenu sous sa langue. Elle est debout contre le guerrier noir, commençant à découvrir son visage du bout des doigts, quand elle a étonnamment chaud. Comme si on lui avait posé une veste sur les épaules. Elle recule de quelques centimètres, et en fait de veste, elle est enveloppée par l’autre chasseur nu dont elle sent nettement le sexe en érection contre le bas de son dos. La voici de profil entre ces deux athlètes. Elle sent leur haleine sur son visage et leur queue sur ses hanches. Elle reprend son exploration, une main pour chacun. Ils lui prennent ...
... chacun un sein et le font rouler dans leur main comme dans un ballet bien réglé. Elle a empoigné leurs sexes, qui lui semblent encore s’allonger jusqu’à presque se rejoindre devant elle. Elle est excité comme jamais. Elle n’a jamais vu autant de bites dévouées à son plaisir. Qu’elles sont longues, qu’elles sont soyeuses, qu’elles sont vivantes ! Ils sont tous les trois traversés par un serpent souple et frémissant, elle le sent qui cogne contre elle, mais elle voudrait l’accueillir en elle, qu’il glisse en elle, qu’il la remplisse, qu’il se love dans son ventre. Elle sent la mouille qui coule de son sexe en filaments visqueux. Le trio se déplace insensiblement, dans un rythme de slow anémique, vers une chaise longue sans accoudoirs. Un des vigiles y prend place, elle l’enjambe aussitôt pour engloutir goulûment son serpent vicieux. Mais elle n’est pas encore au complet, elle se cambre autant que possible en attirant l’autre vigile qui achève de la remplir de l’autre moitié du serpent terrible. Elle est écartelée par un si gros visiteur. Ça lui rappelle un peu ses accouchements, c’est si dur de faire sortir un bébé, mais c’est si bon de faire rentrer tout ce monde en elle. Leurs quatre couilles se rejoignent en une belle grappe entre ses jambes. Voilà Diane chasseresse, elle les a tous capturés, ses plus belles proies sont encore dans son ventre, ses quatre couilles en font la reine du monde. Tous ? Elle relève soudain la tête, où est donc passé Martial, son vigile personnel ? Il ...