1. Quand on tire le diable par la queue (6)


    Datte: 11/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plus que Éric continue la manutention de ses nichons. Jean pioche en continu jusqu’à ce qu’il éjacule violemment dans la pèlerine qui la protège contre l’envahisseur spermatozoïque. – Oh mon Dieu, pourquoi ai-je attendu si longtemps avant de vivre une parcelle du paradis ? J’en veux encore. – Tu te sens prête à affronter mon monstre ? Lui demande Éric. – Oui, oui, je la veux, Sans transition, Éric présente son tronc de séquoia à l’entrée du tabernacle, doucement il pousse, écartant d’autant plus les chairs déjà distendues du con de Brigitte, il va lentement et s’enfonce progressivement. – Alors, comment tu la sens, tu supportes. – C’est gros quand même, mais continue, je m’adapte à ton monstre. – Je peux y aller plus fort ? – Oui, mais ce serait bien si Jean continuait à me brouter les nichons, ce serait encore meilleur. À ce moment là, Rita curieuse, apparaît sur le pas de porte et regarde la scène, son regard croise celui de Brigitte. – Alors comment te plaît le forage qu’effectue mon homme ? – Je suis confuse de ma méchanceté, mais j’ai pêché par ignorance. Tu es super d’être si gentille de le prêter. – Mais moi aussi je suis très excitée de vous voir les trois forniquer. J’aimerai bien que tu me fasses comme Jean l’a fait avant de se planter dans ta tirelire. – Viens, mais j’ai pas d’expérience, ce sera nouveau pour moi. Sans se démonter, Rita, enlève sa culotte et présente sa motte, qui a été retouchée récemment par l’officier du service divin, attribué à la tâche ...
    ... de garde forestier du groupe en enjambant sa tête et en mettant sa tire-lire juste en face des lèvres de Brigitte. – Voila, maintenant, il ne te reste plus qu’à lécher comme le faisait Jean. – Comme cela dit-elle en plantant sa langue dans la chatte de Rita. – Oui, tu le fais très bien, n’oublie pas également le petit bouton qui est en haut, tu as vu que quand on le suce comme un bonbon, c’est vraiment bon. – Tu es vraiment occupée presque de partout, le prochain coup, on complétera, on te fera la totale. – Pourquoi pas maintenant, j’ai envie de tout essayer. – Il faut laisser un peu pour la prochaine fois. – Ah ! Intéressant, il y aura une prochaine fois ? – Oui, pourquoi pas, tu n’as pas encore goûter les fruits sauvages et encore d’autres spécialités. – Éric, tu pourrais un peu accélérer la cadence, je commence à avoir la dalle et si on veut qu’elle garde un bon souvenir, un petit orgasme de derrière les fagots serait le bien venu, autrement, tu devras attendre ce soir pour dégorger ton poireau. – Ça vient, change pas de main. Je sens la semoule qui me remonte le long du tuyau pour aller inonder les terres submersibles de Brigitte. – Oui, pioche encore un bon coup et envoie la purée de pois, j’ai la tension qui est en train de monter, je vais bientôt dépasser le 9 sur l’échelle de Richter. Du reste, Jean est obligé à s’agripper aux poignées pour rester en place. – Rita, une fois ripolinée, a déserté ma langue pour aller à la cuisine, mais je suis très satisfaite de vos ...