Bonus Malus (3)
Datte: 11/11/2017,
Catégories:
Trash,
Suite : Avec un regard presque amoureux, Christelle nous raconte qu’après cet épisode érotique, leur relation de travail est devenue intense. Il la caressait souvent et elle n’hésitait plus à lui montrer des parties intimes de son corps, en prétendant travailler. Mais alors que les choses s’arrangeaient progressivement, son ex-mari est revenu à la charge. Elle témoigne : — Il a commencé à me harceler à propos de conneries, me menaçait de reprendre les gamins et j’ai fait une nouvelle dépression. J’essayais de tenir le coup mais j’avais l’esprit ailleurs et mes retards se sont accumulés. Pire, je ne me sentais plus d’humeur à jouer les allumeuses et mon boss se désintéressait de moi. Du coup, lorsqu’il m’a annoncé que j’avais de nouveau accumulé trop de malus et qu’il ne voyait plus d’autre option que de me licencier, j’ai craqué… — C’est-à-dire ? — J’ai pleuré, je l’ai supplié de me garder car j’avais deux enfants à nourrir… Puis j’ai prononcé la phrase de trop : je lui ai dit que je ferai n’importe quoi pour garder cet emploi. Et en disant cela, j’ai posé ma main sur son sexe. Et alors qu’il me disait que c’était inutile, qu’il ne voulait pas faire cela, je me suis agenouillée devant lui, j’ai sorti son sexe de son pantalon et je l’ai pris dans ma bouche. — Vous admettez donc que vous avez déclenché vous-même ce qui vous est arrivé ? — Oui… même si dans une situation plus favorable, jamais je n’aurai agis de la sorte… Et ce que m’a ensuite demandé mon patron a dépassé ...
... terriblement la pipe que je lui ai faite ce jour-là ! — Justement, parlons de l’évolution de cette situation. Comment a réagi votre patron à votre… proposition ? — Et bien… je vais essayer de ne pas être trop « crue » dans les termes que je vais employer. Le jour où il m’a annoncé qu’il devait me licencier et que je lui ai fait une… fellation, il s’est lâché complètement. Il m’a littéralement baisé la bouche puis m’a prise sur son bureau. Il m’a défoncé et fait jouir plusieurs fois. J’étais dans un état second et tout ce plaisir, si lointain pour moi, me faisait oublier que c’était mon patron qui me prenait par derrière. Pour vous dire à quel point je ne me contrôlais plus non plus, je l’ai laissé me sodomiser et venir en moi. Moi qui avais toujours refusé cela à mon mari ! — Cette… expérience semblait passionnée… Qu’est-ce qui a changé ? — Ce qui a changé c’est que mon patron m’a ensuite considéré comme unepute. Ce n’est plus moi qui allais le voir pour faire « sauter » des points négatifs, c’est lui m’appelait à tout moment de la journée pour que je le soulage. Et lorsqu’il ne me baisait pas, je devais continuer de m’habiller sexy et de l’allumer. Bref, j’étais sa salope personnelle. — Pouvez-vous nous décrire une journée type avec ce genre d’ambiance de travail ? — Et bien je devais quotidiennement m’habiller sexy : chemise décolletée, tailleur moulant, minijupe, bas ou porte-jarretelles, haut talons, etc. Si, pour des raisons climatiques je portais un pantalon, il devait être ...