Bonus Malus (3)
Datte: 11/11/2017,
Catégories:
Trash,
... moulant et taille basse pour laisser dépasser mon string au moindre mouvement. Une fois au bureau, il y avait la routine matinale : je lui apportais son courrier et son café. C’était l’occasion, en général, d’une pipe sous son bureau. Cela ne le dérangeait pas de lire son courrier ou de répondre au téléphone en se faisant sucer. Pour ma part je m’appliquais le plus possible pour abréger cela, non pas que c’était désagréable, mais parce que j’avais du travail à faire ! Par commodité, j’avais pris aussi l’habitude de le laisser jouir dans ma bouche et d’avaler son sperme sans me poser de question. Du coup, en privé, il pouvait aussi bien m’appeler par mon prénom, ou « ma pute » voire même, excusez-moi de l’expression « ma buveuse defoutre ». Ensuite, la journée suivait son cours. Je faisais mon travail, il m’appelait régulièrement, souvent pour de vraies missions, mais pour lesquelles je devais toujours garder à l’esprit de l’allumer, de m’exposer, de me dévoiler. Il fallait donc que je mette en valeur mon décolleté, que je croise et décroise les jambes pour faire apparaître mes bas ou ma culotte. Je me penchais de manière décomplexée pour ramasser des documents tombés au sol. Parfois, c’était moi subtil. Par exemple, il m’arrivait de noter un courrier qu’il me dictait assise sur son bureau, jambes écartées, le string exposé sous ses yeux. Et alors qu’il me dictait sa lettre, il me caressait le sexe au travers du tissu. Il pouvait aussi me demander de me mettre sur ces genoux ...
... et exigeait que je me frotte le sexe sur sa jambe. Il m’arrivait aussi purement et simplement de memasturber devant lui, sur son bureau, ou de faire le travail qu’il me demandait en sous-vêtements, voire parfois nue. Mais ce qu’il préférait le plus c’était de me savoir sans culotte sur mon lieu de travail. Le matin, il lui arrivait de me demander mon string ou ma culotte, me laissant ainsi le sexe à l’air toute la journée. Puis, à la moindre occasion, il me caressait, me doigtait ou soulevait juste ma jupe pour observer mon minou. Il aimait jouer avec moi et s’excitait en prévision de la « pétée du soir » ! — Mon dieu, quelle expression terrible… Pourquoi tant de vulgarité ? — Parce que c’est le terme qui se rapproche le mieux de ce qu’il me faisait. Il me défonçait comme un fou, comme un pervers. Il relâchait toute l’excitation de la journée sur moi et me ravageait. J’avais en général droit à tout : fellation, gorge profonde, cunnilingus, pénétration, sodomie, éjaculation faciale… le tout accompagner d’insultes et de petitesclaques. J’étais sa chose. — Et vous acceptiez cela ?? Aucun travail ne mérite qu’on se fasse violer de la sorte quotidiennement ! — C’est là le souci… Il ne me violait pas. Certes, je n’avais guère le choix vu ma dette de malus mais une fois la partie de sexe commencée, je prenais un pied d’enfer. Moi aussi, le petit jeu en journée m’excitait terriblement et lorsque arrivait le soir, je ne pensais plus qu’à ma pétée ! Il me faisait jouir systématiquement, ...