L'âge ne compte pas
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hagé,
couple,
extraoffre,
vacances,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
attache,
confession,
entrecoup,
... le plus simple appareil et de constater que la maturité apporte à certaines femmes une sensualité, une beauté, une présence érotique que beaucoup de jeunes pourraient envier. Et je sais, même si j’ai mis longtemps à m’en rendre compte, que mon épouse en est une parfaite représentante. Pourtant, si Marie effleure Armelle, c’est pour la guider elle aussi vers son mari, mais de l’autre côté du lit. Du côté où la tête ondule à chacun de mes assauts. Une tête bientôt cachée à mes yeux par les cuisses d’Armelle qui l’enveloppe et lui apporte l’offrande de sa chatte. Aussitôt je sais que la bouche et la langue de Pascal réveillent ce que notre soirée avait engrangé. Le fantasme, l’attente, la promesse de caresses, la montée d’un plaisir déjà naissant même s’il restait tapi dans l’ombre des cuisses et qu’elle imaginait éclater sous mes assauts. Étrange destin… Au lieu de baiser ma femme, c’est le cul d’un homme que je bourre. Au lieu de se faire prendre pas son mari, c’est le même homme – amant par substitution – qui s’y colle. Mais Marie veille. Décidément, ce visage d’ange cache une âme de démon. Elle ne se contente pas de voir son mari lécher une femme, elle veut – et en appuyant sur le dos d’Armelle elle l’encourage – afin que le 69 soit complet. Voilà ma femme tête-bêche sur Pascal que j’encule toujours, essayant de ne pas trop perturber mon rythme par la vision offerte. Cette tête dont les cheveux couvrent les couilles de Pascal et chatouillent ma bite lorsqu’elle ressort, ...
... c’est celle de ma femme. Tout à coup, tout devient trop fort, trop intense. Pendant que je bourre de plus en plus fort le cul de l’homme, j’ai saisi la tête de ma femme afin de la forcer à engloutir le plus possible cette queue qui est un peu la mienne. Cette queue qu’elle doit sentir gonfler à chaque fois que je force le cul. Ma sève monte. Elle se rassemble. Je la sens généreuse, brûlante, prête à lessiver le fondement de cet homme qui n’attend que cela. La pièce se remplit soudain de gargouillis, de gémissements, de cris étouffés. Je jouis avec délivrance, me répandant pour la première fois de ma vie dans autre chose qu’une chatte ou un cul de femme. C’est vicieux. C’est pervers. Mais que c’est bon ! Bon aussi de voir ma femme recevoir le jus de son amant. Un jus que j’ai contribué à créer. Un jus qu’elle recueille sans que je n’aie besoin de la forcer. Voilà encore le travail des amants d’Armelle. Des amants qui lui ont appris à conserver leur liqueur et ne pas la gaspiller. C’est si facile d’exiger de sa maîtresse des faveurs que le mari n’ose pas demander ! Elle se redresse. Son visage est défait. Le maquillage a coulé. Mais quelle luxure dans son regard ! Mais quelle dépravation dans les traces blanchâtres qui s’échappent de ses lèvres ! Mais quelle obscénité dans le simple mouvement avec lequel elle avale le foutre de son amant ! Imaginer que la langue pousse la crème au fond de la gorge, que la luette en profite au passage, et voir en face sa propre femme baisser ...