1. L'âge ne compte pas


    Datte: 11/07/2021, Catégories: fh, 2couples, hagé, couple, extraoffre, vacances, Oral 69, pénétratio, hsodo, attache, confession, entrecoup,

    ... légèrement la tête pour déglutir avec ostentation, ajoutant le vice à la provocation pour ce mari qui n’a d’yeux que pour elle. Elle est tout près de moi. Alors dans un geste qui me semble naturel, une sorte d’accomplissement, elle approche ses lèvres des miennes et me fait délicatement partager le goût et l’amertume de ce qu’elle vient d’avaler. Ce n’est pas une vraie surprise pour moi car, ici aussi Suzie a fait mon éducation, me forçant à goûter mon sperme avec le prétexte bien justifié que « Si tu veux qu’une femme te suce et boive ta liqueur, alors toi tu dois au moins en connaître le goût. » Maintenant nous formons un triangle parfait. Pascal toujours allongé, toujours attaché, toujours étouffé par l’intimité d’Armelle, le cul toujours occupé par la queue de son mari, une queue cependant qui faiblit et glisse doucement de son écrin. Voilà ! Quand je vous disais que j’avais « vraiment » découvert la sexualité à l’âge de 61 ans… La sexualité, c’est bien plus qu’une baise à deux, même si la majorité s’en contente, compensant la routine qui s’installe inexorablement par la recherche discrète du plaisir avec un autre partenaire, amant ou maîtresse occasionnelle ou attitrée. Moi, je suis passé du simple au double, au triple grâce à mes rencontres. Grâce aussi à ma femme qui s’est révélée une maîtresse extraordinaire, prenant en main nos plaisirs et nos débauches. Elle a d’ailleurs commencé dès ce soir-là. Pascal venait juste d’être libéré de ses liens et de son bandeau. Il ...
    ... ne restait sur le lit à baldaquin que les liens abandonnés et des traces de mon sperme que j’avais regardé s’écouler lentement de son petit trou, comme s’il voulait à tout prix suivre la queue ramollie et maintenant alanguie qui reposait un peu plus loin. Je suis allé chercher à boire pour tout le monde. En revenant dans la chambre, j’ai tout de suite remarqué les regards que les trois complices me jetaient. Silencieux, nous avons cependant étanché notre soif. C’est alors que cela a commencé. D’une main délicate, Armelle m’a invité à m’allonger sur le lit métallique. C’est elle, sans l’aide de personne, qui s’est chargée de m’y attacher, reproduisant la posture de Pascal. C’est elle qui a même placé un coussin sous mes reins pour que je sois plus confortable. Je n’ai rien dit. J’ai compris que dans le sexe, c’est comme dans la vie : « Ne fais pas aux autres ce que toi tu n’accepterais pas. » Je n’ai rien dit lorsque Marie est venue me nettoyer la queue des remugles du cul de son homme. Je n’ai rien dit lorsqu’elle a commencé à me sucer. Peut-être juste quelques soupirs de plaisir. Je n’ai rien dit lorsque sa bouche a glissé de ma queue devenue bien dure vers mon petit trou et que la langue s’est évertuée à l’apprivoiser. Peut-être juste une ondulation de mon bassin, incapable de dire si c’est de refus ou d’acceptation. Je n’ai rien dit – et d’ailleurs j’en aurais bien été incapable – lorsque ma femme m’a proposé la queue de son amant pour que je la suce. Elle était encore ...