L'épouse du médecin
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
occasion,
... L’homme remet ses baskets mouillées et me suit jusqu’à ma voiture. Il pleut toujours autant. Nous arrivons trempés. Le temps de monter à bord et de refermer les portières, il y a pas mal d’eau dans la voiture. Les accoudoirs sont trempés, les sièges un peu aussi. L’homme quitte son imper qu’il pose derrière son siège. Je fais de même, mais l’épaisseur de mon peignoir en dessous ne me facilite pas la tâche. Je parviens enfin à l’ôter et le dépose moi aussi derrière le siège. Mon peignoir est en désordre, quasiment ouvert. On voit assez largement mes cuisses, et au niveau du buste c’est tellement ouvert que s’il tournait sa tête vers moi il verrait mes petits seins. Je ne sais pas comment faire pour me rajuster. Quand je tire d’un côté, ça ouvre de l’autre. C’est très peu commode. Je suis obligée de lever mes fesses du siège en tendant les jambes pour descendre le peignoir sur mes jambes, mais ce faisant, la ceinture s’est dénouée et le peignoir est ouvert en grand. Ne sachant quoi faire d’autre, je rigole bêtement. Ne sachant quoi faire d’autre, il rigole aussi bêtement que moi. Nous regards se croisent avant que le sien ne découvre mon corps. Il a compris que je le laisserais regarder s’il le voulait. Il le veut. Ses yeux me caressent. Il y a peu de lumière, mais c’est suffisant pour l’émouvoir, sans doute. Je referme le peignoir en m’excusant et j’attache ma ceinture. Il me répond maladroitement qu’il n’y a pas de quoi s’excuser et s’attache également. Nous faisons le ...
... trajet sans un mot. Je suis concentrée sur la route, glissante et sombre. Des bourrasques secouent la voiture, nous roulons lentement. Arrivés à destination, il entre dans la pharmacie. Il y a plusieurs personnes devant lui. Je change la voiture de place pour ne pas risquer d’être percutée. Face à la pharmacie, de l’autre côté de la route, il y a de la place. Je me gare en marche arrière. Je suis face à l’échoppe lumineuse. Sur le pare-brise coule une pluie drue et incessante. L’image des gens qui font la queue et celle de l’homme sont floues. Je le revois nu dans la salle de bain. Je revois ses yeux entre mes seins quand nous étions face à face dans la cuisine. Je revois ses yeux parcourir mon corps dans la pénombre avant que nous ne démarrions. Machinalement je caresse mes jambes en me penchant en avant. Mes mains sur ma peau me rassurent et me font du bien, mais ces images qui me reviennent en boucle provoquent en moi une émotion vive, une envie d’être touchée, une envie de sentir des caresses intimes, de voir un homme excité par mon corps. J’essaie de me reprendre, je m’engueule moi-même, je me résiste, mais mes mains font ce qu’elles veulent, et quand elles remontent le long de mes cuisses je ne leur résiste pas. Je les laisse me découvrir et je ferme les yeux alors qu’elles s’approchent de mon sexe. Je n’avais pas conscience d’être aussi chaude et aussi mouillée entre les cuisses. C’est indécent. J’ai presque honte. Presque. Mes doigts me fouillent, me pénètrent, m’écartent. ...