L'épouse du médecin
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
occasion,
Il fait un froid de canard ce soir, et il pleut des cordes. Mon mari rentrera tard, comme d’habitude. Son cabinet de campagne est une charge considérable. Ses patients sont disséminés, isolés, vieux, attendrissants, attachants, mais loin et chronophages. Je me suis plongée dans un bain chaud. J’entends les bourrasques de vent s’engouffrer sous les tuiles et la pluie battre le toit mais je suis bien, détendue. Soudain j’entends des coups à la porte. Ça insiste. Je sors de l’eau, enfile un peignoir, descends l’escalier, inquiète. La pluie a redoublé, l’ambiance est à l’orage. Je saisis un tisonnier avant d’ouvrir prudemment la porte, on ne sait jamais. Un éclair blanc illumine la nuit derrière cet homme grand, large, barbu, qui tient dans ses bras une fillette tremblante. Ils sont trempés, l’air perdu. Je laisse tomber mon tisonnier pour les laisser se mettre à l’abri. L’homme m’explique que sa fille est malade, que sa ligne téléphonique est en dérangement, qu’il vient voir le médecin. Je lui prends sa fille des bras. Elle pleure. Elle est bouillante. Il se débarrasse de son manteau mais ses vêtements sont tellement mouillés qu’une flaque se forme sous ses pieds. Il est pieds nus. Je sors une serviette d’un placard et entreprends d’ôter les vêtements de la petite qui tremble plus encore. Elle a froid, elle a peur, elle hurle. Je la couvre de ma serviette et je l’essuie tout doucement. Elle semble se calmer, et je crois même reconnaître un signe de reconnaissance dans ses ...
... petits yeux en amande. J’indique à son père où se trouve la salle de bain et l’invite à aller lui aussi se sécher. Je m’occupe de sa fille en attendant. Je lui dis quel placard ouvrir pour trouver des vêtements secs. Mon mari est un peu plus petit, mais aussi un peu plus gros. Ça dépannera… La petite voit son père s’éloigner dans le couloir, elle a cessé de pleurer et s’abandonne dans mes bras sur le canapé. Ça faisait si longtemps que je n’avais pas tenu un enfant dans mes bras et que je n’avais pas ressenti cette chaleur. Ça me fait du bien. À elle aussi visiblement, elle semble apaisée. Elle dort maintenant. J’étends la petite sur le canapé. Son père ne doit pas trouver les vêtements. Je la couvre soigneusement puis la quitte un instant pour aller voir si son père a trouvé des vêtements à sa taille. La porte de la salle de bain est entrouverte. Il est toujours en train de se sécher. Son dos, large, est cramé par le soleil. Il est musclé et massif. Ses fesses sont blanches, nues, dépourvues de pilosité. Ses cuisses sont larges également, des cuisses d’homme de labeur. Je vois son reflet dans le miroir alors qu’il s’essuie les cheveux. Son torse est légèrement velu, taillé en V. Son sexe est long, large. Il est beau, il semble d’une telle puissance ! Je m’en veux de ne pas avoir tourné la tête. Ce n’est pas mon habitude, le voyeurisme, et je n’en ai pas le goût, mais je suis subjuguée. Je me recule dans l’ombre du couloir. Il continue de s’essuyer, méthodiquement. J’ai presque ...