1. Les stagiaires - 2


    Datte: 30/06/2017, Catégories: ff, fhhh, fbi, oncletante, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus,

    ... petits baisers pendant qu’une main de mon neveu progresse le long de mes jambes pour atteindre rapidement ma fourche humide et offerte. Un doigt curieux, habile, s’immisce dans mes chairs affolées, m’arrachant un petit cri. Je ferme les yeux, abandonnée à leurs caresses, au plaisir que je sens monter en moi. C’est Amélie qui m’arrache à ma torpeur. — Ma jolie Kris, je crois que le moment est venu… Souviens-toi de ce qui m’est arrivé tout à l’heure ; regarde combien tu excites Florent ! Il a l’air d’aimer mes caresses, mais il va encore plus aimer ton ventre…— Hummmm… Vous êtes vraiment deux jeunes vicieux ! Mais tu as raison : j’ai vraiment envie de jouir. Devant mes yeux, les doigts fins de la jeune femme coulissent sur la tige énorme, découvrant un gland luisant, humide, gros comme une belle prune gorgée de jus. Florent, les reins cambrés, suit des yeux le jeu d’Amélie sur son sexe, puis plonge son regard dans le mien. — Tu vois, Kris, Amélie te prépare un bel engin qui devrait te combler.— Oui, Kris, je vais le faire grossir encore. Je suis sûre que tu vas apprécier ! Regarde : je parie qu’il est encore capable de grossir si on lui offre une autre caresse… Le visage d’Amélie s’incline lentement, ses lèvres s’ourlent autour du gland tumescent. Je vois le sexe viril s’enfoncer jusque dans la gorge de ma jeune partenaire qui ne peut en engloutir qu’un petit tiers. Impressionnant et terriblement érotique ! Excitante, cette fellation d’une lenteur exquise. Florent ne me ...
    ... quitte pas des yeux. Amélie libère son amant qui se penche au-dessus de moi, en appui sur ses deux mains tandis qu’elle guide le pilon de chair vers mon ventre. C’est elle qui joue un instant à caresser mes lèvres avec l’énorme engin, appuyant par à-coups sur ma perle sensible. Je me tords sous le contact brûlant en gémissant, les jambes largement écartées pour m’offrir totalement à mon futur amant. Maintenant, le gland est immobile, légèrement fiché entre mes lèvres qu’Amélie a entrouvertes du bout des doigts. — Vas-y, Florent, prends-la maintenant. Défonce-la encore plus fort que moi !— Oui, viens ! J’en meurs d’envie… Je veux te sentir partout en moi !— Oh, Kris, moi aussi j’ai trop envie ! D’un puissant coup de reins, mon neveu m’investit, se plantant totalement dans mon sexe en feu ! Je ne peux m’empêcher de hurler de plaisir lorsque le monstre atteint le fond de ma grotte, butant violemment sur mon utérus ! Débute alors une lente chevauchée. Florent m’écartèle, me pilonne, fouillant mon ventre de toute sa puissance de mâle. Je suis pleine de cette chair brûlante ; jamais je n’avais éprouvé de telles sensations, livrée à ce serpent qui n’en finit pas de m’investir, d’affoler la moindre de mes terminaisons nerveuses. C’est démentiel, mais ô combien délicieux ! Amélie torture mes seins, Florent me domine, le regard toujours planté dans le mien, comme pour surveiller la montée de mon plaisir. — Alors, Kris, tu aimes la queue de Florent ? Tu dois ressentir la même chose que moi ...
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