Les stagiaires - 2 - Histoires de Sexe

Les stagiaires - 2

... Kris… Il est énorme ! Il va me déchirer… Hummmm, comme c’est bon ! Il s’enfonce encore, je suis toute pleine !— Oui ma chérie, il va te faire jouir très fort ! Laisse-toi aller ; profite de tout le plaisir qu’il va t’offrir. Il va te remplir, inonder ton ventre, te faire crier, délirer… D’une main je pince un téton durci, de l’autre je me saisis de son clitoris, sentant sur mes doigts les va-et-vient puissants de Florent. Les yeux révulsés, la bouche ouverte, Amélie se met à crier, jouissant sans cesse, le corps tendu, ballottant sous les assauts du mandrin qui vrille ses chairs en folie. Dans un ultime hurlement, elle s’écroule entre mes bras. Florent se retire, son sexe toujours dressé comme une lance. — Maintenant, j’ai bien l’intention de terminer ce que nous avions commencé dans ton jacuzzi, ma tante… Tu m’as trop fait attendre ! Et je suis sûr que tu as envie de jouir plus fort encore que notre belle Amélie, n’est ce pas ?— Après ta jolie démonstration, oui, j’ai très envie de toi. Mais ne t’imagine pas que tu vas t’en sortir aussi facilement, car moi aussi je vais te combler !— Pas grave, car je te réserve une surprise qui devrait te convenir à merveille…— Coquin ! Comment penses-tu me surprendre ?— Ah…Ah… ! On m’a toujours dit que, pour combler une femme, un seul homme n’est jamais à la hauteur. Alors je multiplie les chances en multipliant les partenaires. J’en connais deux qui sont tout disposés à m’aider dans ce genre de jeu : François et David n’attendent qu’un ...

... signe de ma part. Après avoir entendu Amélie crier son plaisir, ils doivent être à point pour satisfaire toutes tes envies, tous tes fantasmes…— Tu oserais faire une chose pareille ? Tu es complètement fou ! Je ne me laisserai pas faire ! Pour qui me prends-tu ?— Simplement pour une femme splendide, sensuelle, et friande de tous les plaisirs de la vie. De plus, le fait que tu sois ma tante m’excite bien plus encore ! Alors nous allons te mener jusqu’au délire, ma belle Kris !— Tu es un salaud ! Et rien ne dit que tes copains oseront…— On parie ? Florent me tend la main, m’aidant à me relever tandis qu’Amélie, qui a repris ses esprits, nous contemple avec un sourire mutin. Il m’entraîne vers ma chambre dont la large baie vitrée, ouverte, donne sur notre terrasse et la piscine. Amélie nous suit en silence. — Le pari sera pour plus tard, ma tante, car je suis un égoïste et je veux à tout prix t’avoir toute à moi un moment. Je ne partagerai qu’avec Amélie, si elle le désire… Les mains d’Amélie sur ma peau me confirment qu’elle le désire, en effet. D’une poussée légère, elle me fait basculer sur le grand lit, s’allonge, et ses lèvres viennent déguster mes seins à nouveau gonflés de désir. Florent, à genoux à mes côtés, nous admire d’un regard rieur, son énorme corne virile toujours dressée au bas de son ventre. L’envie de tendre la main, de laisser mes doigts courir sur son mandrin me tenaille, mais Amélie, à demi allongée sur moi, m’empêche de bouger. Elle dévore mon corps de ...