Les stagiaires - 2
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
ff,
fhhh,
fbi,
oncletante,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
... vous allez me faire regretter d’avoir semé le trouble.— Ne m’en veuillez pas. D’ailleurs, François et moi, nous avons eu l’impression que le trouble régnait aussi dans la maison…— Ah bon ? Qu’est-ce qui vous fait penser une chose pareille ?— Alertés par des cris, nous avons cru bon de nous approcher de la baie de votre chambre, qui était restée ouverte, croyant qu’Amélie ou vous aviez besoin de secours… Ce qui était loin d’être le cas : les cris n’étant pas de souffrance, bien que vous étiez poignardée, mais le coup n’était pas fatal et vous sembliez une victime tout à fait consentante.— Votre curiosité vous perdra, David !— Croyez-vous ? Votre neveu n’est pas le seul à être armé ! Et que peut une faible femme contre trois jeunes athlètes ? François va se faire un plaisir de m’aider ; Florent aussi je suppose… Je n’avais pas remarqué en effet que François se tenait derrière moi. Il pose les mains sur mes épaules, me maintenant doucement mais fermement contre le dossier de mon fauteuil. David tombe à genoux devant moi, les mains sur le bas de ma robe qui découvre largement mes cuisses. Lentement, il dégrafe quelques boutons, en écarte les pans jusqu’à la ceinture. Honnêtement, je ne cherche pas à me défendre, troublée moi aussi par l’audace de ce beau blond. — Quel ravissant spectacle ! Le bas est tout aussi charmant que le haut.— Moi, je veux revoir le haut… murmure François qui, lui aussi, s’attaque aux derniers boutons de mon seul vêtement, mettant à nu ma poitrine déjà ...
... gonflée de désir. Ses paumes viennent couvrir les globes de mes seins ; ses lèvres se posent dans mon cou puis glissent jusqu’à mordiller tendrement un bourgeon sensible. Cette fois, je suis vaincue ! Les doigts de David ont atteint leur but : ils écartent les lèvres humides de mon sexe. Sa langue vient flatter la perle de mon clitoris, me faisant gémir, me cambrer pour m’offrir à cette nouvelle caresse. Florent s’approche à son tour. — Ma tante, tu te souviens du pari ? J’ai l’impression que nous allons le gagner ! Il repousse François, prenant sa place sur mes seins. Son camarade fait le tour du fauteuil ; il est déjà nu. Son sexe dressé n’a rien à envier à celui de mon neveu. Agréablement dévorée par David, la poitrine à la merci des mains de Florent, je pose la main sur la barre de chair vibrante. Je ne résiste pas longtemps à l’envie de faire coulisser mes doigts sur la tige offerte, découvrant un gland rond, luisant de désir. En quelques allers et retours, le sexe de François durcit encore. D’un léger mouvement des reins, il vient frôler mes lèvres. Je dépose un petit baiser sur la hampe qui dépasse largement de mes doigts et, du bout de la langue, j’agace la chair soyeuse. Le jeune homme pousse un gémissement, sursautant légèrement. Il vient de franchir le cap ; mes lèvres s’ouvrent, j’embouche cette nouvelle virilité. Pendant quelques instants, je m’en donne à cœur-joie, aspirant la lourde colonne, la recrachant pour mieux l’engloutir à nouveau, resserrant les lèvres ...