Les stagiaires - 2
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
ff,
fhhh,
fbi,
oncletante,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
... comme des fous ; on leur apportera à boire aussi. Nous partons vers la cuisine, Amélie devant moi, Florent dans mon dos. Le coquin pose ses mains sur mes hanches… Un nouveau frisson parcourt mon dos ; son souffle sur ma nuque est brûlant. Ses lèvres effleurent mon cou, une main remonte sur mes seins. C’est le moment que choisit Amélie pour se retourner. — Dis donc, Florent ! Tu as un faible pour les belles femmes mûres ? En plus ta tante ? Tu n’es qu’un satyre !— Moi ? Un satyre ? Non, juste un garçon trop excité par deux jolies femmes. D’ailleurs, que s’est-il passé tout à l’heure, dans la chambre ? Un bien beau spectacle pour un garçon sage comme moi et amateur de spectacles érotiques…— Tu as tout vu ? Je comprends mieux ton état. Cela explique la trique que tu promènes depuis un moment… De toute façon, tu as raison : ta tante est trop jolie, trop excitante ! J’ai très envie de te donner un petit coup de main… Amélie s’approche, saisit mon visage entre ses mains douces, et un baiser torride nous unit. Les pointes de ses seins agacent les miens. Les mains de Florent glissent l’une sur mon ventre, l’autre sur les reins d’Amélie pour nous serrer l’une contre l’autre. Je ne résiste pas à l’envie de poser une main sur la lourde tige de chair dressée contre mes reins et à malaxer tendrement de l’autre main les fesses d’Amélie. Je les entraîne vers le canapé où je me laisse tomber. L’esprit totalement déconnecté, je ne suis plus qu’un objet de plaisir offert à leur jeune ...
... lubricité, à leur fougue amoureuse ! Amélie se retrouve à genoux entre mes jambes et défait les nœuds retenant mon maillot de bain pour découvrir mon sexe déjà humide et palpitant. Elle plonge la tête vers mon ventre offert, sa langue vient caresser mon petit bouton tandis qu’elle joue de deux doigts avec mes chairs affolées. Florent n’est pas en reste ! Après avoir longuement léché, mordillé, titillé mes seins durcis de désir, il se redresse et fait glisser son caleçon, m’offrant la vue splendide de son sexe déjà tendu, énorme, long, large, au gland luisant. Penché sur moi, il pousse lentement son pieu vibrant sur mes lèvres, et je peux à nouveau me régaler de sa splendide virilité. À petits coups de reins, il me viole la bouche ! Je gémis et me tords sous les assauts de mes deux jeunes partenaires, sentant le plaisir monter en moi. Une main dans les cheveux d’Amélie, l’autre autour de la tige qui coulisse entre mes lèvres, fouillant ma gorge, je me tends et explose dans un orgasme fou. Florent s’arrache à ma bouche gourmande, se redresse et vient s’agenouiller derrière Amélie, qu’il saisit par les hanches. Celle-ci abandonne sa caresse au creux de mon ventre en feu. J’attire son visage entre mes mains pour mordre ses lèvres en un baiser sauvage. Florent a écarté les fesses rondes à deux mains puis, d’une lente poussée, il s’enfonce dans le sexe ruisselant de la jeune femme. Elle se raidit brutalement ; nos lèvres se séparent et elle me fixe d’un regard effrayé. — Ohhhhh… Mon Dieu ! ...