1. flicette


    Datte: 12/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Masturbation

    ... prend un Doliprane – pas de l’aspirine parce que cela accentue le saignement – et on pense à autre chose ou bien on souffre en silence. Vous avez déjà entendu une fille se plaindre devant vous que ses règles lui font mal ? — Non, jamais, en effet. Vous pouvez me montrer un tampon, pour que je voie à quoi cela ressemble ? — Justement, je n’en ai pas de propre à vous montrer, puisque c’était ce que j’allais vous demander. — Mais là, ce que vous tenez dans votre main, emballé dans du papier toilette… — Je cherchais la poubelle pour le jeter. D’ailleurs, il serait bien que vous investissiez dans une poubelle de salle de bain : on reconnaît bien là l’appartement d’un célibataire endurci. Vous ne voulez quand même pas que j’exhibe un tampon usagé sous vos yeux ? — Ben, pourquoi pas ? C’est si horrible de ça ? — En fait, non. C’est juste un truc un peu sanglant. Vous n’allez pas tourner de l’œil ? — Quand j’étais étudiant, j’ai été brancardier dans un hôpital, comme job d’été. J’ai vu des gens qui avaient le corps déchiqueté dans des accidents de voiture. Alors, vous savez… — Comme vous voulez, après tout. Ce qui est amusant, c’est que la plupart des hommes considèrent les menstruations comme quelque chose d’absolument dégoûtant dont ils ne veulent absolument pas entendre parler. Dans certaines religions, ils considèrent même que la femme est impure quand elle est en période de règles, et qu’il ne faut pas la toucher, ni même l’approcher. Bref, ce qui est amusant, c’est que ...
    ... pratiquement aucun mec – même parmi les séducteurs invétérés que j’ai connus – n’a jamais vu de près ou de loin un tampon usagé, et moi, je vais vous montrer cela, directement sous vos yeux. Eh bien, si l’odeur et l’aspect ne vous dérangent pas trop, regardez donc.Il att**** l’objet par la ficelle et l’examine, nullement écœuré par le sang très sombre dont le matériau absorbant est saturé. — Je crois que je me coucherai moins bête, ce soir. — À peine : il y a encore plein de choses que vous ne connaissez pas des femmes… Mais si vous le voulez bien, interrompons cette leçon de choses, parce que j’ai une course à faire. Il y a une épicerie ouverte le soir, dans le quartier ? — Oui, à quatre cents mètres, sur le boulevard. — Euh… normalement, je n’ai pas le droit de vous abandonner. Vous ne direz pas à ma chef que je vous ai laissé tout seul, comme un grand, pendant quelques minutes ? — Je serai une tombe, promis ! — Bon, quand je rentrerai, je frapperai à la porte et je vous dirai le mot de passe sans lequel, surtout, vous n’ouvrirez à personne. Disons… « tampax » ; c’est une marque de tampons. C’est rigolo, comme mot de passe. Ça vous convient ? — Tampax, OK. À tout à l’heure !Lorie revient un quart d’heure plus tard avec en mains un petit paquet vert. Elle prononce le mot de passe ; il déverrouille un à un ses trois verrous et elle entre. — Ouf, je suis arrivée juste à temps : ils allaient fermer. Il pleut : je vais essayer de ne pas salir votre appartement. — Vous avez trouvé ce ...
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