flicette
Datte: 12/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Masturbation
... qu’il vous faut ? — Oui, n’épiloguons trop pas là-dessus : je veux bien satisfaire votre curiosité, mais ne vais quand même pas le changer devant vous, quand même ! — Non, bien sûr, je ne veux pas violer votre pudeur. J’ai mis un seau dans les toilettes, avec un sac plastique, en guise de poubelle. — Vous faites des progrès. Bientôt, vous serez incollable, en plus d’être un parfait gentleman. Tiens, vous avez loué un DVD ? — Non, je ne suis pas parti d’ici pendant votre absence ; j’ai juste pris une douche.Ils se regardent, médusés, comprenant tout à coup. Fébrilement, Grégory insère la galette dans son lecteur et voit ce qu’il craignait : lui-même en train de se déshabiller pour entrer dans son bac à douche, puis en sortir pour enfiler son pyjama. — Vous êtes sûr de n’avoir ouvert la porte à personne, et que toutes les fenêtres étaient bien fermées ? — Je ne suis pas fou, quand même. Et avec la pluie, le vent et le froid, si une fenêtre avait été ouverte, on le sentirait. — Le maniaque est donc caché… ici, dans l’appartement, et il attendait patiemment que je m’en aille pour continuer à vous filmer ! Il faut que je fouille tout, de fond en comble. Je finirai bien par le trouver.Elle att**** fermement son arme de service et vérifie qu’elle est bien chargée. — Restez bien derrière moi, dit-elle. Ne vous isolez pas : il pourrait en profiter. On va allumer toutes les lumières.Ils avancent avec précaution, le cœur battant à chaque franchissement de porte. Comme l’appartement est ...
... minuscule, la fouille n’est pas longue. Rien. — Incroyable, dit-elle. On dirait qu’il passe à travers les murs. Un vrai passe-muraille, comme dans l’histoire de Marcel Aymé. Sauf que nous avons affaire à un pervers. — On fait quoi, maintenant ? — Vous n’avez qu’à dormir. Je vais rester éveillée pour surveiller l’appartement.Il se glisse dans son lit pendant que Lorie reste assise sur le canapé, gardant son pistolet en main. Mais une heure après, il ne dort toujours pas. — Je n’arrive pas à trouver le sommeil. — Stressé ? — Oui, sans doute. — Écoutez, ne paniquez pas : jusqu’ici, rien ne prouve que vous avez à faire à un individu violent. De plus, il ne passe jamais deux fois la même nuit. Je ne crois pas que vous ayez quelque chose à craindre. — Vous avez sans doute raison. Il faut que je me calme. Mais le fait que vous soyez éveillée, tout près de moi… d’un côté, ça me rassure, et de l’autre, ça me trouble. — J’aimerais bien prendre une douche. Comme cela, vous serez tranquille pour quelques minutes. Comme je l’ai dit, je ne crois pas qu’il y ait du danger à vous laisser ; et puis, de toute manière, je suis juste à côté. Vous n’auriez qu’à crier. — Si le maniaque arrive, vous allez surgir nue, l’arme au poing ?Elle rit. — Ça vous plairait bien, hein ? Oui, si c’est nécessaire, promis. Comme ça, vous ferez d’une pierre deux coups : vous serez débarrassé de celui qui vous embête et vous vous rincerez l’œil. Mais si vous m’appelez pour rien, je vous administre une grosse fessée ...