Diane, chasseresse et chassée - Histoires de Sexe

Diane, chasseresse et chassée

... surprise. Il la soulève dans ses bras et l’emporte dans la chambre sombre où il la dépose délicatement dans le creux de l’énorme édredon. La jupe est relevée sur les cuisses nerveuses, un petit slip immaculé pointe là-haut. Il caresse cette peau de bébé d’un blanc laiteux, elle geint, il s’assure qu’elle est en train de revenir à elle en passant une main sous le polo et en vérifiant que les petits seins sont tout durs et que leurs bouts se dressent. Il prend avec ses lèvres gonflées de désir la bouche de la traumatisée qui engloutit sa langue avec voracité. Pourtant, elle garde les yeux fermés comme pour mieux ressentir les sensations que lui procure ce mixage de muqueuses. Il la sent agitée de tremblements, il redouble d’ardeur puis abandonne la cavité buccale pour s’emparer aussitôt des petits œufs au plat qu’il lèche avec frénésie. Elle murmure : — Oh ! c’est trop bon ! en lui caressant les cheveux. Il dégrafe la jupe, qu’il tire promptement vers le bas. Elle apparaît, fragile dans sa culotte blanche. Il exhale l’air chaud de ses poumons sur le tissu qui cache la moule déjà bien humide, il effleure de ses doigts la peau proche de l’élastique, elle se tend sous ses caresses, alors il arrache l’accessoire de coton. Elle se redresse comme une furie : — Tu n’y penses pas, j’ai l’âge de ta mère !— Oui, mais maintenant je ne suis plus un enfant et je vous veux, répond-il. Elle s’écroule sur le dos au premier coup de langue qu’il donne entre les lèvres de sa vulve. Le ventre ...

... se cabre de façon spectaculaire, alors il continue de lécher généreusement de bas en haut. Il la viole d’un médium curieux, il lui empale l’anus d’un pouce irrespectueux. Elle gronde, veut résister. Lui est ferme, son dard est dressé. Pour la rendre soumise, il présente l’engin à la bouche féminine. Elle refuse : — Pas ça, je ne l’ai jamais fait.— Justement, ça va être bon de vous apprendre, ouvrez vos lèvres, répond-il surexcité. Elle s’exécute, l’air dégoûté. Il va-et-vient entre les lèvres resserrées, sur la langue râpeuse, tandis que ses mains triturent les petits mamelons et pincent les bouts. La toute nouvelle suceuse prend goût au liquide séminal, elle accélère les allers-retours sur la hampe. Il la calme en extrayant son pieu et dit : — Maintenant, je vais vous baiser. À sa grande surprise, elle acquiesce d’un« ah ! oui » langoureux. Il découvre en se reculant qu’elle écarte vulgairement ses cuisses longilignes, sa chatte aux lèvres écarlates est béante et engluée de sécrétions. Il plante son gland à l’entrée et pousse sa verge de fer au fond de ce conduit généreux, tout à la fois chaud et gluant, il la possède comme le ferait un âne, à grands coups. Elle halète en jetant sa tête dans tous les sens, alors il la besogne sauvagement, perdant tout sens de la mesure, il ahane en lui demandant de répondre à ses insistantes questions. — Vous aimez, ma chère Diane ? Dites-moi que vous aimez !— Oh ! oui, j’aime, répond-elle dans un souffle. Continue c’est trop bon, il y a si ...