1. Diane, chasseresse et chassée


    Datte: 12/07/2021, Catégories: fhhh, fplusag, hagé, campagne, Oral fist, pénétratio, fsodo, coprolalie, init, délire, humour, totalsexe,

    ... dans le dos de la femme. Celle-ci, complètement transformée par ce qu’elle vient de vivre et sûre de l’effet qu’elle peut produire, fait durer la situation en faisant mine de ne pas trouver les verres, elle tend ostensiblement son cul en arrière, la serviette épouse ses fesses tandis que ses mollets blancs éblouissent les mirettes des ploucs, plus habitués aux jambons variqueux de leurs femelles crasseuses. Gus le vieux et Théo le robuste neveu, bandent fort dans leurs pantalons militaires, leurs yeux luisent de vice. Elle les sert et s’assoit, l’air de rien, épaules dénudées, pointes des seins apparents sous le tissu en éponge. Elle est arrogante de supériorité, fière du trouble provoqué. Elle trinque avec eux avec assurance et demande : — Qu’est -ce que vous avez attrapé ? Rien, même pas une petite caille ! rajoute-t-elle perfide, en choisissant à dessein un nom d’oiseau parfois utilisé pour qualifier une jeune femme appétissante par ses formes et sa vulnérabilité. Les deux mâles aux ventres tels des outres remplies de pinard, aux mines de dogues et aux joues couvertes de barbes naissantes drues et noires, regardent Diane comme une porcelaine de Limoges, fragile et hors de prix. Celle-ci laisse glisser le haut de la serviette comme par inadvertance, les petits œufs au plat sont là, devant eux, nus. Ils transpirent, les rustauds, mais ne bronchent pas, peureux et superstitieux : la Diane serait-elle une sorcière ? Elle se sent forte, elle dit : — Gus, offre-toi une caille ...
    ... de luxe, approche. Il se lève, empoté, le gros ventre en avant. Elle insiste : — Touche ces seins qui te font bander. Il palpe délicatement les minuscules tétons de ses gros doigts plus habitués aux mamelles de vache de sa Félicie, qu’il pétrit d’ordinaire sans ménagement en la faisant couiner comme une truie, tandis qu’il lui défonce le con. Ici, il est plein de douceur et gêné comme un puceau dans les bras de sa première pute moqueuse. Diane s’énerve de tant de minaudage. Elle ouvre la braguette du chasseur et en extrait un gros saucisson violet qui sent fort. — Ouah ! fait-elle admirative, t’en as un gros calibre, mon Gus ! Elle commence à masturber le membre qui se dresse sous la douceur des doigts fins, elle regarde avec délectation le gros neveu dont le cerveau a du mal à suivre ce qui se passe. Sous le lit, Michel salive et bande, le spectacle est trop beau. Diane a enfourné dans sa bouche le sexe gigantesque, elle pompe lentement, joue de sa langue, les lèvres sont distendues par le diamètre du chibre, le Gus est pris de vertige, il grogne à chaque succion. Diane branle maintenant vigoureusement l’engin au-dessus de la table, Gus, tel un sanglier en rut lâche son sperme épais en longs jets sur la toile cirée. Son neveu frise l’apoplexie, il sort sa bite et se branle sans se poser plus de question. Diane se redresse et fait tomber la serviette, elle s’offre aux regards, nue comme un ver, elle tend ses fesses à Théo et l’invite à la toucher. Aussi gêné que son oncle, il ...