1. Une certaine façon de se faire pardonner...


    Datte: 14/07/2021, Catégories: fh, couple, Masturbation Oral pénétratio, fsodo,

    ... mon petit triangle d’amour, ma petite forêt intime, tel un fruit offert. Son regard ardent m’enflamme, brûle mon visage aux mèches folles, la ligne épurée de mon cou, mes épaules dénudées, la naissance de mes seins ronds et rehaussés par le bustier moulant, ma taille soulignée, mes hanches nues et magnifiées, mes jambes étirées, mes bottines si ambiguës… Il déglutit, se redresse sur ses coudes, fixe effrontément mon bosquet sombre qui est à sa hauteur, je sens distinctement son avidité, sa soif, sa pulsion de me prendre tout entière, sans retenue et j’en suis fière et flattée. Mais je sens qu’il reste en lui des fragments de bienséance, cette barrière qui sépare souvent l’homme guindé de la bête sexuelle. Je vois qu’il est partagé entre sa bestiale envie de ma personne, sa folie envers moi et son éducation presque trop idéale. Alors je porte l’estocade : — Tu voulais me faire quoi ? Me punir ? Alors, délibérément, dans un geste impudique, je pose mon talon aiguille sur le rebord du lit, mes cuisses largement écartées, offerte, impériale, soutenant son regard, les yeux mi-clos, la bouche pulpeuse entrouverte… D’un brusque sursaut, il se redresse, m’attrape par la taille et me plaque à lui. Il gronde à mon oreille : — Je ne sais pas à quoi tu joues, mais ça me plaît terriblement ! Tu m’excites un maximum ! Je ne sais pas ce qui me retient de t’en faire voir de toutes les couleurs !— Tss-tss ! Que des paroles, rien que des mots !!!— Ne me tente pas !!!— Rien que des mots ! En ...
    ... un tournemain, je me retrouve sous lui, dévorée par des tas de baisers brûlants. Je viens de déclencher une tempête ou même un ouragan, je ne sais pas jusqu’où tout cela nous mènera. Je me laisse porter par le flot. Nous roulons plusieurs fois de suite sur le lit, je me sens si petite dans ses bras, sous l’avalanche de baisers et de morsures qui pleuvent sur moi, sous ses mains qui s’insinuent partout, sur ma peau, sous mon bustier ! Une éclaircie s’amorce dans ce tumulte, il est sous moi, je suis sur lui. Il me regarde étrangement, les bras grands écartés, ballants sur le lit aux draps défaits. Je sens qu’il tente de se reprendre, de redevenir ce garçon poli et lisse. Mais moi, je ne veux pas ! J’ai pressenti la bête sous la carapace, sous le vernis qui s’effrite doucement. Nos cœurs se calment, la phase de repos survient. Le souffle toujours court, il dit : — Je ne comprends pas bien, ma chérie…— Qu’y a-t-il à comprendre ? Tu es un homme, mon homme, je suis une femme, ta femme et nous nous désirons. C’est tout simple !— Oui, c’est vrai, nous sommes mariés, tu es ma femme, je te désire, mais…— Mais ?— Mais pas comme ça ! Je pose mes coudes sur sa large poitrine et pose dessus mon menton, je m’efforce d’aller au plus profond de ses yeux pleins d’incertitudes : — Comme quoi ? Comment veux-tu qu’un homme et une femme se désirent ? Avec des s’il-te-plaît et des merci ?— Pas jusque-là, mais… disons un peu plus… hem… classique…— Tu n’as pas aimé ?— Si ! Mais, comme ça, comme tu es ...
«1...345...8»