Une certaine façon de se faire pardonner...
Datte: 14/07/2021,
Catégories:
fh,
couple,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
... dévoiler une épaule nue, mon contournement à pas feutrés : — Avec tout mon amour pour toi….— Je présume que c’est aussi avec amour que tu as défoncé un poteau avec MA voiture ? Ah… ces hommes et leur matérialisme !!! — Ce n’est pas grand-chose, avoue-le, quelques griffures légères, invisibles…— Une griffure d’un mètre de long, tu appelles ça invisible ? Ah… ces hommes et leurs exagérations !!! — Oh, mon amour, tu amplifies un peu !— Ouais, du pare-chocs au milieu de la portière, ça fait combien ? Quelques millimètres, des microns, je suppose ? Ah… ces hommes et leur jargon technique !!! — Mais avoue que tu es content qu’il ne me soit rien arrivé à moi !— Tu as une de ces façons de contourner le problème ! T’es bien une femme, toi !— Et c’est pour ça que tu m’aimes, non ? Un léger sourire sur son visage. Attends un peu mon bonhomme, je vais te faire voir, moi, que je suis bien une femme ! C’est la première fois, néanmoins, qu’il se montre un tantinet macho, mais toujours est-il que maintenant il tourne le dos au lit et me voici à son ancienne place. Il lève les bras au ciel : — Pffff ! Tu parles d’un argument !— Tu aurais préféré que je sois à l’hôpital et que ta sacro-sainte voiture n’ait rien ?— Eh bé ! Tu as de ces façons de voir, toi !!! N’inverse pas les rôles, s’il te plaît !— Ah oui, tu aurais donc préféré que je sois à l’hosto, ou même à la morgue, plutôt que d’avoir un gnon sur ta belle et merveilleuse voiture ?— Mais… mais… ça va pas la tête ?!? Où tu vas chercher ...
... toutes ces conneries ? Houlà, j’y ai été un peu fort, on dirait qu’il est à deux doigts de se fâcher ! Ses sourcils sont très froncés, jamais je ne les ai vus ainsi. Ses yeux sont comme noirs d’encre sombre. Le ton de sa voix se durcit. Je pense que j’ai un peu abusé. Il est temps de passer d’urgence à la suite du programme : lançant mes bras en avant, je le pousse sur le lit. Surpris, déséquilibré, il s’affale dessus sans résistance, les yeux grands écarquillés. — Mais ??? Qu’est-ce qu’il te prend ???— Ceci !!! Et je laisse choir ma robe de chambre. Je pense que je n’ai jamais été aussi satisfaite de mon effet que ce jour-là. Mon homme a la bouche grande ouverte, aucun son ne sort, il est ahuri, stupéfait, abasourdi. Une réaction très physiologique prend naissance entre ses jambes. Je suis en bustier de satin noir, luisant, lacé dans le dos, mettant bien mes formes en valeur, mes courbes encore plus féminisées. Mes jambes sont gainées de bas autofixants dont la large jarretière de dentelle contraste violemment avec la chair blanche de mes cuisses. Les mailles en croisillon soulignent encore plus le galbe de mes jambes, les rendant à la fois plus irréelles et tellement désirables. Plus bas, des petites bottines à talon aiguille accentuent encore l’effet délicieusement pervers que j’offre à son regard à la fois suffoqué et avide. Au centre de cette symphonie de noir, entre bustier sombre et luisant et bas ébène et moulants, émergeant de mes chairs blanches, se dessine nettement ...