Une enclume de bonheur
Datte: 14/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
volupté,
Oral
pénétratio,
uro,
... riches" pour s’installer au Touquet, quelques "Sam Suffit" et, à côté, beaucoup plus excentrés, les terrains de camping qui ont fait découvrir les vacances à toute une population laborieuse. Le camping préféré de Louis, distant d’un kilomètre environ de la plage, en était séparé par deux rangées de dunes et une zone sablonneuse d’environ cinq cent mètres, zone que les gens du Midi qualifieraient de "garrigue". Cette zone où poussaient des épineux et quelques arbustes était difficilement accessible à cause des débris de bois mort et d’épines qui jonchaient le sol. C’était devenu l’endroit privilégié des amoureux en quête d’endroit tranquille. C’est bien sûr dans cet endroit que Louis LA vit (ou plutôt la remarqua). Un soir de pleine lune, il y attendait sa dernière conquête qui tardait à venir, lorsqu’il vit arriver un couple qui s’arrêta à une cinquantaine de mètres de l’endroit où il était. Quelques minutes plus tard, il vit la femme, seule, qui se rapprochait encore de lui. Arrivée à sa hauteur, elle s’arrêta et, dans un mouvement gracieux, enleva sa culotte puis, après avoir relevé sa jupe, s’accroupit telle une reine, le dos bien droit, les mains sur les hanches retenant sa jupe et sa culotte. Sans attendre, elle se mit à pisser d’un jet dru. L’éclairage de la lune estompait les couleurs mais ce fut suffisamment excitant pour Louis ; un long frisson lui parcourut l’échine, la beauté du spectacle lui coupait le souffle. Sans s’essuyer, Nadine (c’est son prénom, il le ...
... sut plus tard) rejoignit son compagnon et Louis dut attendre que le couple fasse sa petite affaire parce qu’il n’y avait pas d’autre issue que de passer près du couple pour rejoindre sa tente. Cette nuit-là, il ne put s’endormir, se rejouant en boucle la scène du pipi, espérant contre toute logique mieux voir le liquide ambré sortir du méat féminin. Il s’imaginait à quelques centimètres de la source merveilleuse, tellement près qu’il en recevait sur le visage ; à cette simple pensée il se rendait compte qu’il bandait comme un âne, chaque fois il se retournait comme pour échapper à ce qu’il redoutait, car son éducation lui interdisait de trouver du plaisir dans une situation aussi dégradante. Malgré lui, l’action recommençait et il se retrouvait avec elle, accroupie au-dessus de lui, lui pissant dessus et y prenant un plaisir sadique. Il se tournait et se retournait sous la couette qu’il partageait avec son frère, qui de temps en temps se manifestait en grognant. N’y tenant plus, Louis se leva et s’enfonça dans le bois environnant pour enfin soulager la tension. Il se branla frénétiquement, faisant fi de tous ses tabous et n’étant déjà plus en état de réfréner le flot de ses pensées obscènes. À peine avait-il éjaculé que son engin à moitié débandé reprenait de la vigueur. Il s’imaginait vaincu, se soumettant à la volonté de la femme dominatrice qui exigeait sadiquement de lui qu’il ouvre la bouche en grand pour avaler la pisse qu’elle lui offrait généreusement. Louis l’avait ...