L'enseignement religieux
Datte: 11/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
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hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
BDSM / Fétichisme
Oral
intermast,
h+prof,
... passion peut s’appliquer aux études. Mais sinon, ciné, musique. Comme tout le monde je pense ! Et vous ?— J’ai plus vraiment le temps de m’adonner à mes passions depuis que j’ai commencé ma thèse, mais avant je faisais de la danse. Modern Jazz. J’ai arrêté, ça se voit peut-être, me dit-elle écarlate.— Oh… Euh… Vous en avez fait longtemps ? essaye-je de rebondir le plus délicatement possible.— Dix ans. J’ai peur d’avoir tout oublié mais bon.— Ah oui. La situation est en fin de compte assez comique. Ça fera toujours quelques anecdotes à raconter à mes potes. Je me demande ce qu’elle va faire quand elle sera chez elle. Écrire des pages et des pages sur la divine religion chrétienne ? Probablement. Je n’arrive toujours pas à réaliser qu’elle est toujours vierge (du moins, c’est ce que je pense) à vingt-cinq ans. Pas avant le mariage. Quel dommage. Elle pourrait sûrement rendre quelqu’un heureux. L’idée m’amuse malgré moi, mais je constate, en la regardant de nouveau, qu’elle peut être un bon coup. Elle a un visage plutôt mignon, un peu fatigué et qui gagnerait à afficher un sourire plus souvent, mais pas désagréable. Et sa poitrine doit être sympathique aussi. Quatre-vingt-dix ? Quatre-vingt-quinze ? Probablement du C. Vraiment, je trouve ça dommage de ne pas les utiliser. Dieu est parfois injuste avec ses ouailles. Pendant le reste du trajet, nous restons dans un silence total, tout juste perturbé par l’entrée et la sortie de quelques personnes isolées. Malgré moi, je commence ...
... à m’imaginer des situations pas très catholiques avec cette, en fin de compte, charmante enseignante. Il faut reconnaître que ses lèvres sont très bien dessinées, assez fines mais charnues en même temps. Si ça se trouve, elle embrasse très bien. Peut-être même qu’elle pourrait en faire un autre usage, si elle savait. Nous arrivons enfin au terminus. Il était presque temps. Nous sortons de la rame et de la station. Un rideau de pluie nous tombe dessus : — Vous n’avez pas de parapluie ? me demande-t-elle inquiète.— Malheureusement, il a refusé de monter dans mon sac ce matin.— Mince, moi non plus.— Vous prenez votre bus où ?— Sur la petite place juste à côté d’ici.— Ah bon, je vais vous accompagner, ça doit être celui à côté de mon appart. Nous nous mettons alors en marche, rapidement, et en deux minutes, nous rejoignons son arrêt de bus. L’avancée se fait péniblement, sous une bonne grosse averse, mes cheveux ressemblent rapidement à une serpillière. Ceux de ma prof dégoulinent abondamment, et il semble que cela lui coule frénétiquement dans le cou et sur la poitrine. La voir s’énerver m’amuse et continue de me donner des idées quelque peu déplacées. Nous sommes trempés jusqu’aux os, surtout qu’il ne fait pas très chaud. Et pas de chance pour elle, son bus n’arrivera pas avant vingt minutes : — Pfiou, j’ai la poisse aujourd’hui. Je suis bonne pour poireauter vingt minutes sous ce temps, trempée.— La vie est dure, dis-je cruellement. Au pire, je peux vous héberger le temps que ...