1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (6)


    Datte: 15/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    A l’issue de son éprouvante visite médicale, Markus eut droit, ainsi que les autres garçons, à une cage pénienne qui était fort inconfortable, et lui comprimait douloureusement le sexe au moindre début d’érection. Chacun était prévenu par la mère supérieure qui leur tint, de sa voix méprisante et autoritaire, le discours suivant : — À partir de maintenant, bande de dépravés, vous serez soumis au jeûne sexuel absolu, pendant une semaine. Vous avez bien compris, hurla-t-elle ? L’onanisme, ici, c’est non. Autrement dit, aucun acte masturbatoire ne sera toléré, aussi timide soit-il. Si vous avez le malheur de d’enlever votre cage de continence, ou bien seulement d’essayer, ce sera dix coups de fouets, suspendu nu par les pieds devant tous les autres, dans la cour. Tous les autres, vous avez compris ? Y compris les filles ! Le dos de tous ceux qui sont passés par là s’en souvient encore ! Elle leur lut le passage du livre de la Genèse dans lequel était relaté le sort du pauvre Onan que l’Éternel fit mourir pour avoir souillé la terre de sa semence au lieu de la déposer dans le vagin de sa belle-sœur, afin de laisser une descendance, comme Tout-puissant le lui avait ordonné. Les filles perçurent à leur tour leur ceinture de chasteté, ce qui les empêchait de toucher à leur clitoris et de glisser ne serait-ce qu’un doigt dans leur vagin. Le matériel était sophistiqué et seules quelques religieuses possédaient la précieuse clé qui aurait permis de les libérer. Il se murmurait que ...
    ... quelques jolis garçons, et quelques belles filles, de surcroit particulièrement serviles, avaient parfois le privilège de se faire ôter, discrètement et momentanément, leur accablant boitier afin d’offrir leurs services sexuels aux plus gradées des religieuses. Mais officiellement, tout cela était formellement interdit. La consigne générale était que chacune et chacun se devait de rester nu en permanence : les vêtements que l’on portait en arrivant étaient de toute façon confisqués. Interdiction de cacher ses organes génitaux avec ses mains : tout geste de pudeur était sanctionné par les coups de canne. Ainsi, on pouvait voir s’écouler un mince filet de sang sur les jambes des filles qui avaient leurs règles, pour la plus grande confusion des intéressées. Les toilettes, regroupées dans une seule salle, n’avaient aucune cloison ; garçons et filles mélangés rougissaient intensément d’être obligés de se montrer dans leurs besoins naturels. Après ce percutant discours, ils furent tous envoyés dans une salle de cinéma afin de leur projeter un film pornographique, afin de bien les exciter tout en sachant qu’ils n’avaient pas la possibilité de toucher à leur sexe. L’exercice fut cruel, et certains pleuraient de frustration, pour la plus grande joie de leurs tortionnaires. À la suite de cela, ils eurent droit à une soupe tiède pour tout repas, et on les envoya se coucher dans des cellules minuscules et absolument spartiates, munies d’un vasistas permettant aux religieuses de mieux les ...
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