1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (6)


    Datte: 15/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... surveiller. Markus dormit difficilement, à cause de ses érections nocturnes que sa cage pénienne empêchait : plus d’une fois, dans la nuit, il fut tenté de retirer cet objet de brimade, mais il craignait la punition. Le lendemain matin, lever au clairon dès cinq heures. La toilette eut lieu d’une manière originale : on regroupa tout le monde dans la cour, on fit l’appel, puis une religieuse dirigea un puissant jet d’eau glacée sur le groupe ; ainsi chacun fut nettoyé pour la journée. Puis, petit déjeuner : une tranche de pain sec et un bol de café noir au goût très âpre, sans sucre. De toute manière, on n’avait pas le temps de déguster ce festin : dix minutes plus tard, il fallait s’aligner dans la cour pour la revue du matin. La mère supérieure examina les cages péniennes des garçons et les ceintures de chasteté des filles. Deux des jeunes avaient commis la faute de tenter de s’en débarrasser : ils furent aussitôt isolés du groupe, et emmenés vers une potence où ils furent attachés par les pieds. La mère supérieure alla chercher sa chambrière – un grand fouet destiné à dresser les chevaux – qu’elle fit bruyamment claquer sur le sol. — Regardez bien : vous allez tous constater ce qu’il en coute de défier notre autorité. L’un après l’autre, les deux jeunes fautifs, un garçon et une fille, furent cruellement flagellés : à chaque fois que la lanière de cuir s’abattait sur leur dos, quelques gouttes de sang giclaient pendant qu’ils ne pouvaient réprouver un cri de douleur. Ce ...
    ... spectacle excita beaucoup Markus qui, subitement, désira d’une manière impérieuse ce châtiment pour lui-même. Il s’avança hors du rang, en pleine visibilité, arracha sa cage pénienne qu’il jeta à terre, et commença crânement à se masturber devant l’assistance médusée. Il n’eut pas le temps d’aller jusqu’à l’orgasme : rapidement, il fut empoigné par les religieuses et attaché à son tour, par les pieds, à la grande potence, avant de subir, non pas dix, mais vingt coups de fouet afin de sanctionner durement son inacceptable insolence. Il fallait que l’autorité ne montrât pas le moindre signe de faiblesse, pour ne pas encourager la rébellion. Markus souffrit beaucoup et son dos s’en souvient encore, mais ce geste intrépide lui fit gagner en popularité auprès des jeunes détenus. Rapidement, notre héros acquit la réputation de forte tête qu’il fallait absolument mater. Dans ce but, rien ne lui fut épargné. Il dut, par exemple, lécher les pieds des filles que l’on avait au préalable fait marcher dans des flaques de boue. Connaissant le fétichisme passionné du jeune homme pour cette partie du corps, ce l’était pas pour lui déplaire, bien au contraire, et il s’exécuta avec délices. Il eut également le privilège de porter un nouveau modèle de cage pénienne, très difficile à ôter, et de surcroit particulièrement inconfortable. Il dut aussi nettoyer, à genoux, le cul des religieuses après le passage de celles-ci à la selle, sa langue faisant office de papier toilette. Mais les bénéficiaires ...