Inès, à fleur de femmes 3
Datte: 15/07/2021,
Catégories:
ff,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
nopéné,
init,
policier,
ecriv_c,
... apaisant son enfant. Ses yeux étincellent d’une lueur animale, son corps vibre d’une passion sauvage, qu’elle maîtrise à peine, et qui semble l’enflammer à son tour, comme un feu communicatif. Elle vient de saisir son visage à deux mains, pour mieux le couvrir de baisers voraces. Son corps s’est collé au sien, comme cherchant à s’y fondre, plaquant sa poitrine contre la sienne avec une telle force que les bouts des seins, malgré leur tee-shirt, se touchent et se cherchent. Inès se laisse faire, trop abasourdie par ce foisonnement de sensations qui l’emportent vers un chemin inconnu. Elle sent la chaleur de cette chair féminine caresser sa peau, son odeur raffinée et entêtante, le parfum suave des cheveux lâchés, tout ce mélange qui agit sur elle comme une alchimie brûlante, un brasier qui s’étend dans tout son corps. Ses pensées semblent paralysées par le déferlement de cette lave intérieure qui l’embrase sournoisement, elle est incapable de réfléchir, de réagir. Les ongles qui s’enfoncent dans son dos la fait violemment tressaillir. Sa bouche s’entrouvre alors pour pousser un cri de surprise. Maria en profite vite pour introduire sa langue entre ses lèvres. Inès gémit, mollit, savourant malgré elle la douceur de ce premier baiser féminin. C’est indescriptible. Délicieux. À la fois doux, sensuel, brûlant, profond. Cet acte follement intime provoque un chavirement des sens qu’elle ne maîtrise plus. Elle n’a pas conscience de répondre au baiser, part à l’assaut de la bouche ...
... fruitée, de la langue agile, s’y noue, s’y dérobe, puis y retourne avec timidité et une certaine retenue encore. Tantôt elle se laisse faire, résiste ou s’offre, luttant contre ces ondes lascives qui montent et grondent comme un orage dévastateur. Maria, avec une expérience inouïe, la relance de baisers fougueux, aiguillonne sa langue de spirales infernales, met tout en œuvre pour faire monter la fièvre de plusieurs degrés. Et elle y réussit à la perfection. C’est avec la même passion qu’Inès l’embrasse, la fouille, envoyant une vague de salive dans sa bouche et cherchant à se consumer toute entière dans ce baiser affamé. Maintenant, c’est Maria qui semble un peu surprise de ce brusque consentement. Inès met dans ce baiser une telle fougue, une telle violence, que cet élan fougueux semble presque désespéré, comme une femme qui a lutté de toutes ses forces et, finalement, s’est laissée emporter par un désir trop impétueux. Une femme qui se sait perdue et en accepte la défaite. Haletante et tremblante, Maria compte profiter de cet abandon pour aller jusqu’au bout. Elle passe à l’étape supérieure, s’écarte en suffocant, et son regard qui se pose sur la poitrine d’Inès ne calme en rien son souffle précipité. Elle voit que les pointes des seins se dressent contre le tissu du tee-shirt, et elle ne peut résister à la tentation d’effleurer du bout des doigts le sein droit, caressant à travers le tissu le bout sensible, ce qui arrache à Inès un cri stupéfait. Sans perdre de temps, Maria ...