Ah...les dames bien mûres ! partie 3/4
Datte: 15/07/2021,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Mature,
LU SUR LE NETUne fois de plus, je suis resté quelques jours sans revoir ma charmante voisine si ce n’est que durant de très brèves apparitions au travers de ses rideaux. Par une belle matinée ensoleillée de fin novembre, alors que le givre recouvrait déjà les arbres nus de la ville et que les cantonniers disposaient les guirlandes de Saint-Nicolas, je vis soudain Madame P. sur le trottoir d’en face en discussion avec une autre dame de son âge que je connaissais de vue. Elle était très élégamment vêtue d’un manteau de fourrure 3/4 et d’une petite toque assortie posée légèrement en biais sur sa belle chevelure blonde qui recouvrait sa nuque. Une jupe noire recouvrait le haut de superbes bottes brunes en cuir de Russie. Un splendide foulard Hermès en soie grège lui entourait le cou : toujours la grande classe ! Elle pivota légèrement et m’aperçut, me faisant un sourire. J’allai vers elles, et après avoir salué son interlocutrice, je me tournai vers Madame P. Sans lui donner le temps de réfléchir, je posai ma main sur son avant bras et me penchai pour lui faire la bise, comme si nous étions amis de longue date. Je sentis un léger mouvement de recul, mais elle me tendit sa joue que j’embrassai délicatement. Sa peau était douce comme un riche velours. À ma plus grande surprise, elle me rendit alors un léger baiser sur la joue. — Bonjour, Marthe, lui dis-je, comment allez-vous ? — Bonjour, Jean-Luc, très bien, merci, et vous-même, depuis le temps que nous ne nous sommes revus ...
... ?…Ainsi donc, comme je ne lui avais jamais indiqué mon prénom et elle le sien, elle avait, comme moi, empoigné le bottin de téléphone…pas folle la guêpe, mais de plus en plus intéressante ! — Je ne veux pas interrompre votre conversation, ma chère, je vous rappellerai un de ces prochains jours. Au revoir ! — Oui, volontiers, à bientôt.Je saluai encore son amie et repris mon chemin. Après une dizaine de mètres, je me retournai comme pour traverser la rue et je vis que les deux dames me regardaient m’éloigner, pendant que Madame P. semblait parler. J’aurais bien voulu savoir ce qu’elles disaient de moi. Petit curieux, va ! Elle me fit encore un petit signe discret de la main, auquel je répondis tout aussi discrètement. Mon cœur battait à cent à l’heure, et je croyais encore sentir son eau de toilette. Ce simple petit intermède m’avait fait bander comme un fou, et je rentrai dans un tea-room dans les toilettes duquel je dus aller calmer mes ardeurs; C’est en pensant à elle que j’envoyai de puissantes giclées de sperme qui finirent malheureusement dans un kleenex. Je remontai et m’attablai dans la petite salle où je commandai un café. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir rentrer dans l’établissement et se diriger vers le comptoir pour y acheter son pain. Je me levai afin qu’elle me voie et l’invitai à prendre un café avec moi. — Volontiers, me fit-elle, mais je ne pourrai rester longtemps, car ma fille vient déjeuner chez moi tout à l’heure, et je ne suis guère en avance.Une fois ...