Ah...les dames bien mûres ! partie 3/4
Datte: 15/07/2021,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Mature,
... les consommations servies et la serveuse éloignée, elle me regarda en souriant, et me dit sur un ton de reproche: — Comme vous y allez ! Je discutais avec cette mégère de Madame C. et j’ai dû lui inventer toute une histoire pour justifier notre semblant de connaissance. J’ai ensuite dû lui dire que j’avais une course urgente à faire pour m’en débarrasser, car elle n’aurait pas manqué de me poser encore d’autres questions indiscrètes. Vous pouvez dire que vous m’avez mise dans un drôle d’embarras !Cependant, ses yeux brillaient et contredisaient ce qu’elle disait. Je jurerais même qu’elle m’avait vu rentrer dans l’établissement et qu’elle y était venue bien sciemment, mais je me gardai de le lui dire.Je ne puis que lui présenter piteusement mes excuses, tout en lui avouant que j’avais apprécié au plus haut point le petit voile qu’elle avait bien voulu lever sur sa vie privée lorsque je l’avais ramenée chez elle à la Toussaint. Ostensiblement, mon regard descendit de ses yeux à sa bouche, puis à son cou et enfin s’arrêtèrent sur l’opulente poitrine qui gonflait son manteau encore fermé. Elle sentit le feu de mon regard sur ses seins… — Qu’il fait chaud, ici, permettez que je me mette à l’aise !Et sans plus de formalités, elle ouvrit son manteau et retira son beau foulard. En se tournant pour poser le foulard sur la banquette où se trouvait son sac à main, elle fit un geste du bras qui entrouvrit largement le manteau, dégageant son buste époustouflant. Elle était moulée dans un ...
... pull blanc en laine sous lequel se devinait la forme sombre d’un soutien-gorge noir. Le souffle court, je ne pus que lui dire platement : — Vous êtes ravissante, ma chère Marthe !Je vis son visage rosir : — Je vous en prie, ne tourmentez pas ainsi la vieille dame que je suis. Il y a belle lurette que les hommes ne me font plus la cour, et je vous rappelle que je suis veuve et respectable dans cette ville.Bêtement, je ne pus que poursuivre la discussion sur la pluie et le beau temps, ensuite de quoi, nous nous quittâmes pour aller vaquer à nos occupations respectives. Alors que nous nous levions de table, je surpris un très bref et très fugitif regard de cette dame en direction de ma braguette, j’en suis absolument certain. Gênée, et comme prise en défaut, elle détourna vite le regard. Devant le tea-room, nous nous fîmes encore une bise très conventionnelle, mais alors sa main dans la mienne me fit une pression très sensible alors qu’elle avait mes lèvres sur sa joue.Après midi, vers deux heures, je montai à mon petit observatoire, lorsque je vis la fenêtre de sa chambre à coucher s’ouvrir. Madame P. se pencha à l’extérieur et fit un signe d’au revoir à sa fille qui était sur le trottoir et rentrait dans sa voiture. Elle referma alors la fenêtre et tira les voilages. Soudain, la lumière de sa lampe de chevet jaillit et je la vis dans mes jumelles braquées, de profil dans son beau pull blanc à col montant, ses gros seins tendus comme des obus sous le lainage. Elle passa sa main ...