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Garce et ouvrier
Datte: 16/07/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature,
Il est des métiers où l'on se balade et rencontre beaucoup de gens. Jecroisais nombre de ces créatures du tertiaire et je ne concevais paspasser toute une journée dans un endroit confiné et avachi derrière unbureau. J'avais le sentiment d'être libre. Toujours en mouvement. Jen'avais cure qu'on moquât mon métier manuel et que j'eus les pognessales et calleuses. Au contraire je concevais une fierté pour cela. Onme voyait bouger , être en sueur. Notamment croisais-je le regard desfemmes. Je cultivais à leur égard le côté viril de l'ouvrier. Mesphéromones leur agréaient.Je draguais indifféremment femmes de tout âge, de morphologie ou destyle. Le seul critère était qu'elles me fissent bander et que je leurtrouva un côté garce et délurée. On avait à cet égard quelque surprise.La dernière fois je tombais sur une chef de service austère et revêcheet dont on eut été à mille lieux de deviner les goûts. Mon instinct està ce propos infaillible. Il agit tel un sonar. Par des regards etmimiques tout cela est par la suite validé. Cette fois-là laconfirmation me fut rapidement obtenue. Je n'avais été dupe de safroideur ni de son hostilité à mon égard.A juste titre j'en déduisis qu’elle me repoussait d'autant que sonattirance vers moi était avérée. Ce jeu du chat et de la sourism'excitait. Elle n'était pas d'une beauté impeccable. Les ans avaientalourdi ses traits et sa silhouette. Cependant elle était de race etavait du être une fabuleuse pouliche dans sa jeunesse. Si j'étaisméchant ...
... j'ajouterais que j'avais une prédilection pour les bellesruines. Je sais d’expérience que les femmes de cinquante sont les plusgarces. Je n'avais pas froid aux yeux qu'il y eût plus de vingt ans dedifférence entre nous. Le jeu en valait la chandelle.Mon job avec deux, trois autres comparses étaient de câbler des bureauxpour l'informatique. Bref je côtoyais au quotidien des cols blancs etdes femelles. Ce jour-là il eût prise de bec entre elle et moi. Elle necomprenait pas que notre intervention réclamât des fois la fermeture desordinateurs. Elle alléguait que dans d'autres emplois, elle avait vufaire et que ma méthode n'était pas la bonne. Mon amour-propreprofessionnel en prit un coup. Nous disputâmes longtemps et trouvâmescependant un compromis. Entre temps nous eûmes temps de nous détester.Nous devions bosser dix jours là-bas. Le marché était juteux. Je devaisprendre en bonne part ma conne. Chaque soir j’allais lui faire lerapport de la journée et de l’avancement des travaux. Les premiers joursje fis ami avec une jolie blonde que j'attrapais quelquefois le mididans la camionnette. Ce détail ne dut pas échapper à la pécore car ellem'en fit le reproche direct. Elle dit : « Je vous conseille de ne pasfrayer avec le personnel. » Affectant de ne comprendre, je répondis : «Vous savez on a trop d'occupation pour papoter avec le personnel ».Ainsi éludais-je le sexuel.Manifestement jalouse, elle fit une scène à ma blonde qui me lerapporta. Ne voulant trop compromettre celle-ci, je décidais ...