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Garce et ouvrier
Datte: 16/07/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature,
... de laquitter pour une autre. Le nouveau choix ne déplut pas moins. J'en fisun jeu. Il était trop patent que la furie était jalouse. Je l'observaiset réunissait tous les indices de son envie. Outre de rougir dans nosconversations, je remarquais le battement fébrile de son pied dans sonescarpin. Enfin gracieux avec elle j'obtins un soir qu’elle écartasubrepticement les cuisses pour que je vis un peu de sa culotte et de lanaissance de ses bas.Je me mis un peu dans la tête de me venger et de la sauter. Les travauxs'achevaient. Il ne restait que trois jours. Je marquais résolumentqu'elle me plaisait. Je la draguais sans vergogne. Nous discutions plustard le soir. Mes collègues partaient devant. L'usage de mon scooter melaissant une relative autonomie. Les gens eurent été fort étonnés de nosconversations. Elle souriait se dandinant sur sa chaise. Je remarquaisqu'elle avait pour moi outré son maquillage. Je lui balançais : « Voussavez. Vous me plaisez ». Elle ne s'offusqua pas d'une louange sivulgaire. La garce était ferrée.Je sus assez de sa vie qu’elle était malheureuse. Elle avait eu un marivolage. Elle avait pris quelques amants. Un dernier dont elle étaittombée follement amoureuse l'avait trahi. Pour se consoler elle s'étaitjetée davantage dans le travail. Elle était devenue plus acariâtre cedont je m’étais aperçu. Le ton sur lequel elle me fit cette confidencenous rapprocha définitivement. Elle me proposa ce soir-là que nousprimes un café à quelques rues de là. Elle ne ...
... fit pas de manières quandje lui pris la main. Nous en étions au tutoiement. Elle me dit : « T'esun chic type. »Je ne lui en répondis pas moins que j'étais un coureur et macho ce dontelle convint. Nous finîmes dans la voiture. Nous nous embrassâmes. Avecautorité et ployant sa nuque je l'enquis à prendre mon sexe. C'étaitpour moi un passage obligé : une garce devait me montrer son talent àsucer. Elle réussit haut la main l'examen. Elle me dit avec fierté queses amants la goûtaient pour cela. Je lui dis qu'elle devrait cultiverles hommes, se lâcher et s'amuser. Je vis qu’elle voulait être prise etfoutue sans ménagement. Elle n'avait cure qu'autour des vitres saturéesde buée, il y eût quelques passants.Le lendemain midi, rebelote. Je l'enculais direct dans le sous-sol duparking. Elle trouvait excitant qu'à peu de pas pussent passer ledirecteur ou un autre collègue et qu'ils ne devinassent pas qu’elle sefaisait mettre par un mignon ouvrier. Moi-même je trouvais celaexcitant. Les filles de son service auraient été surpris des façons deleur supérieure. Celle-ci jouissait sans vergogne émaillant sesgémissements de mots grossiers. Je lui proposais d’associer à nos jeuxun autre copain. Ce qu’elle accepta. Le demain fut un dernier jour. Il yeût pot avec le service. Elle fit un beau discours.Le soir-même je l'entraînais dans un appartement où nous attendait,Jimmy, un grand black. Ce fut une orgie, une curée. La salope sans sedémonter honorât son rang. J’avais prévenu le pote qu’elle ...