1. Une nuit de douceur


    Datte: 16/07/2021, Catégories: fh, volupté, BDSM / Fétichisme chaussures, intermast, Oral pénétratio,

    Un soir donc, j’invite à manger chez moi une amie, invitation des plus banales et des plus simples, et pourtant… Nous nous connaissons depuis quelque temps. J’avoue avoir toujours été très attiré par elle, ce qui n’a pas manqué de lui échapper. Son regard sensuel, son sourire coquin, ses gestes lents et mesurés me charment ; sa voix douce coule à mes oreilles comme une musique érotique. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir, alors que je lui ôte son manteau, une tenue des plus séduisantes qui fait pétiller mon regard : une petite jupe noire plissée, un chemisier vaporeux assorti, transparent par endroits, et un décolleté des plus attirants, j’irais même jusqu’à dire provocants, pour mon plus grand plaisir. Je suis quelque peu troublé, et la coquine s’en amuse, un sourire enjôleur apparaît sur ses lèvres. Elle s’est assise dans le canapé. Je ne peux m’empêcher de remarquer encore une fois la beauté de son regard, de ce corps superbement mis en valeur. En allant chercher des verres et quelques boissons, je ne trouve rien de mieux que de heurter une chaise, et je manque de trébucher… Coquine comme elle est, elle ne peut s’empêcher de rire doucement de ma maladresse. Quel son divin à mes oreilles ! Comme on peut se sentir stupide dans des moments pareils ! Je crois qu’à ce moment, déjà, elle est satisfaite de l’effet qu’elle a provoqué sur ma personne ; moi qui suis d’habitude impassible comme un roc, du moins extérieurement… Au cours de l’apéritif, elle ne cesse de croiser ...
    ... ses superbes jambes et de les décroiser, d’une façon très suggestive. Froissement de la soie des bas à mes oreilles, vision envoûtante de ces jambes galbées et mises en valeur… Le désir de glisser ma main, délicatement, d’effleurer ces longues jambes, objets de ma convoitise, monte en moi. J’avoue que ma température interne s’élève très rapidement, beaucoup plus que je ne l’aurais pensé… Mes idées s’embrouillent, les mots ne viennent pas… Stupide, incapable d’aligner plus de deux idées sans bafouiller… À nouveau ce regard, ce sourire, cet amusement de mon état, de ma faiblesse d’homme… Regard toujours coquin, sensuel… Tendre et chaleureux. Le repas se passe sur le même ton… Un bon vin avive encore la chaleur intérieure qui m’anime… Paroles échangées, discours plus appuyé, petites phrases glissées, compliments coquins non dissimulés. Je vois petit à petit ses joues prendre une légère teinte rosée… La tension monte, perceptible, sensuelle, délicieuse dans la retenue, dans le fait de tourner l’un autour de l’autre, de se regarder, de se toucher par les mots, de s’éloigner rapidement pour se rapprocher tout aussi subrepticement par une autre allusion… Les mots sont une caresse pour l’âme comme peut l’être la main pour la peau… Encore plus sensuels par ce qu’ils évoquent de promesses, d’attentes, d’envies. La musique devient envoûtante. Les chansons s’enchaînent, d’une infinie douceur. Lorsque je reviens au salon, après avoir débarrassé la table, je l’aperçois esquisser quelques ...
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