1. Une nuit de douceur


    Datte: 16/07/2021, Catégories: fh, volupté, BDSM / Fétichisme chaussures, intermast, Oral pénétratio,

    ... jusqu’à la lisière de ses bas qui dépassent légèrement de sa jupe. Fantasme qui émerge en moi, qui m’envahit, qui m’emporte comme un torrent. Elle me demande soudain si je trouve ses sandales à talons hauts assez sexy. Je suis surpris par ces paroles qui rompent d’un coup le silence et me ramènent à la "réalité"; et elle est amusée de m’avoir troublé. Je lui réponds par l’affirmative, car les chaussures sont un attribut auquel je suis sensible chez une femme, et trop souvent négligé. Nos regards se croisent, regard bleu dans le bleu, et dans nos yeux se reflètent nos sourires. Elle referme les yeux, invitation dissimulée, discrète comme je les aime. Et c’est là que mes lèvres se posent, d’abord sur son front, puis son nez, et enfin sa bouche. Tout d’abord en un baiser chaste, une caresse de mes lèvres. Douceur, fraîcheur de sa bouche au parfum enivrant… Brûlure de ses lèvres sur les miennes. Ces effleurements de lèvres deviennent rapidement un baiser fougueux, nos langues se mêlent l’une à l’autre, jouent l’une avec l’autre, s’échappent, se retrouvent… Moment tant attendu qui fait voler en éclat toutes mes barrières. Envie de l’embrasser encore et encore, de jouer avec sa bouche, ses lèvres, sa langue. Envie partagée qui s’exprime enfin. Elle se redresse en un mouvement lent, et je continue à faire courir mes lèvres dans son cou, à la mordiller quelque peu, pendant que ma main descend vers la sienne. Nos mains se trouvent pour une fougueuse étreinte. Mes doigts ...
    ... s’échappent, pour effleurer les siens. Elles s’étreignent à nouveau. Puis je porte la sienne à ma bouche et commence à laisser courir mes lèvres, depuis la paume jusqu’aux ongles, qui arborent un magnifique vernis bordeaux. Il me faut embrasser, mordiller, prendre en bouche ses doigts afin de me rassasier… Soupir de son souffle, yeux fermés, son corps abandonné… Je l’embrasse à nouveau, nos bouches se retrouvent. Et je la sens frissonner. Sensation des plus tendres et des plus douces que de tenir ce corps de femme entre mes bras et de l’entourer de caresses jusqu’à le faire trembler de désir. Ma main quitte la sienne, se pose sur son genou et remonte en des va-et-vient réguliers, et toujours lents. Très lents, afin de retarder encore un peu ce moment de plaisir si intense où je franchirai la dernière barrière de son intimité. Jusque sous sa jupe, sans précipitation, avec délicatesse, ma main est remontée. Je passe d’abord un doigt sur la peau, à la lisière des bas, et je sens la douceur, la chaleur de son désir… Bien au chaud ma main prend le temps de jouer avec chaque parcelle, chaque millimètre de peau qu’elle découvre… Puis, enhardie par les soupirs qu’elle provoque, délicatement entre les jambes elle s’immisce… Tout doucement, les douces cuisses elle écarte. Sans pour autant se hisser encore jusqu’à son intimité. Ma main le regrette, mais je préfère toujours prendre mon temps dans ce jeu de caresses… Mon regard replonge sur cette femme offerte, abandonnée à son plaisir, désirant, ...
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