Valérie : l'insoupçonnée (15)
Datte: 17/07/2021,
Catégories:
Hétéro
Aussi, au moment où mon épouse prend ma bite entre ses doigts puis dans sa bouche, je suis au comble du bonheur. Et elle fait ça très bien : il y a longtemps qu’elle ne me suçait pas avec une telle vigueur. D’elle même, elle monte sur moi pour un 69. Fabuleux. Elle jouit rapidement et il faut d’ailleurs qu’elle se calme car j’aurais presque déjà envie moi aussi. Et il n’est pas question que je jouisse dans sa bouche, elle n’a jamais voulu. J’ai probablement éjaculé sur toutes les parties de son corps mais pas dans sa bouche. Mai cela ne m’a jamais dérangé à vrai dire. Elle cesse de me sucer et s’allonge lentement à côté de moi. — Viens… Je me glisse entre ses jambes écartées et la pénètre. J’ondule sur elle, appuyant mon bas ventre contre le sien, comme elle aime tant. Mes mouvements lents et sensuels l’emmènent doucement vers un nouvel orgasme. Je lui dis que je suis très excité. — Ne jouis pas encore… Elle vient à califourchon sur moi. J’aime la voir sur moi et elle prend visiblement son pied. Je caresse délicatement ses petits seins. Elle sourit, gémit, sourit à nouveau. Changeant l’angle de pénétration, elle a son troisième orgasme et je n’en reviens pas. Pas plus qu’elle s’allonge alors sur moi et m’embrasse avec fougue. Que lui arrive-t-il ? Je suis aux anges. Elle se met alors à quatre pattes et m’attend. Je m’agenouille derrière elle. C’est clair qu’elle a pris du poids et des fesses ces dernières années, mais je la trouve plus excitante encore. J’écarte ses fesses, ...
... juste pour voir sa petite rondelle. Si elle n’a jamais été une sodomite convaincue, nous le faisions tout de même quatre ou cinq fois dans l’année. Là encore, cela me convenait tout à fait. Je glisse ma bite dans son vagin. Doux à-coups d’avant en arrière. Ma femme gémit. Comme elle aime, j’intensifie ma levrette petit à petit. Elle a toujours adoré ce crescendo jusqu’au pilonnage sans ménagement de son cul. Et cela ne rate pas. Ses "Oh oui !", ses "Encore !", ses gémissements, ses cris, sont autant de victoires. J’atteins alors ce moment où je la défonce, où je laboure son vagin, frénétique et violent. … ne penser à rien… faire durer… encore… souffler… Des années que je n’ai pas résisté de cette manière, des années que je ne l’ai pas comblée ainsi. Ma femme ne gémit plus, elle halète, hébétée par la longueur de ce puissant mitraillage. Mes quatre derniers coups de rein la font tomber en avant, sur le ventre et je décharge en elle avec une intensité qui m’étourdit. Elle reste plusieurs minutes sans bouger avant de se lever pour aller à la salle de bains. Elle ne dit rien mais pendant quelques minutes, je suis le plus heureux au monde. Ma femme revient, s’allonge dans le lit. Ce sourire. Ce sourire du bonheur après l’amour. J’avais oublié. La soirée se passe dans une parfaite quiétude et Valérie s’est un peu éloignée de mon esprit. Au matin par contre, Valérie ne me quitte plus. Je quitte la maison avant le réveil de ma femme et fait tout mon possible durant la matinée pour ne ...