1. Nathalie


    Datte: 17/07/2021, Catégories: fh, gros(ses), grosseins, groscul, lunettes, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, fsodo,

    ... à moins d’un mètre du bord de lit. Je me suis assis sur celui-ci, ce qui me permit de reprendre mes esprits. Nathalie n’avait pas bougé. Elle me souriait. D’un geste lent, elle desserra la ceinture de son peignoir. Elle prit soin de ne pas me dévoiler tout de suite l’entière nudité de son corps. Elle découvrit lentement une à une ses deux épaules. Alternativement l’une des ses mains découvrait ses épaules pendant que l’autre tenait fermement l’ouverture de son vêtement. J’attendais avec impatience la suite. — Mets-toi nu si tu veux voir la suite ! me dit-elle d’un ton presque sec. J’ai ôté un à un les boutons de ma chemisette afin de me retrouver torse nu à nouveau debout. Enlever mon bermuda fut une simple formalité. À sa grande surprise, mon gland violacé dépassait du haut de mon boxer devenu trop petit. — Continue maintenant, lui dis-je. Son regard était rivé sur mon sexe. J’ai cru un instant qu’elle allait se jeter dessus comme une morte de faim. Je me suis approché d’elle ce qui eu pour effet de la sortir de sa léthargie toute relative. Elle réajusta son peignoir sur ses deux épaules découvertes. Ses deux mains tenaient fermement chaque côté de son peignoir. Je les ai prises dans les miennes. Cela a eu pour effet d’entrouvrir son vêtement et de laisser apparaître la courbe généreuse de ses seins. J’ai lâché l’une de ses mains afin d’attraper l’un des objets de ma gourmande convoitise. Son téton s’est presque instantanément redressé sous l’effet de ma caresse. J’avais ...
    ... enfin la confirmation de ce que je soupçonnais. Elle avait réellement d’énormes seins. D’un blanc laiteux, ils étaient lourds et denses. Très petites, ses aréoles contrastaient avec le volume de ses tétons bandés sous l’effet de mes caresses. J’ai peu à peu augmenté le rythme de celles-ci avant de sucer et de mordiller un à un ses deux mamelons. Ces caresses buccales ont déclenché chez Nathalie de petits râles de plaisir. Une fois qu’elle eut repris ses esprits, elle se fit beaucoup plus entreprenante. Moi qui la pensais gauche et inexpérimentée, j’allais vite changer d’avis. En moins de trois secondes, elle avait libéré mon chibre de sa prison de coton. J’étais maintenant totalement nu face à elle. Elle me fit reculer pour m’asseoir sur le bord du lit. Sans jamais lâcher mon sexe tendu, prisonnier d’une de ses mains, elle s’accroupit entre mes deux cuisses et commença un lent mouvement de va-et-vient en prenant soin de caresser de tout son long l’objet de sa convoitise. Nathalie était toujours vêtue de son peignoir. Pour me prouver que tout cela lui faisait de l’effet, elle ôta sa petite culotte de coton rose souillée par son intense excitation. Elle me la tendit afin que j’en hume le parfum si fort de la femme en rut. Tout en continuant à caresser ma bite, elle avait entrepris de se masturber lentement, fouillant avec aisance au milieu de sa dense toison pubienne. Très vite, elle passa à la vitesse supérieure en attaquant avec vigueur une fellation de premier ordre. J’avais ...
«12...4567»