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47.3 (Sous) Le t-shirt de Thibault.
Datte: 18/07/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... garage où il devait faire très chaud… de grosses gouttes de transpiration perlent sur son front… depuis qu’on discute, le bogoss passe régulièrement les doigts ou bien le revers de la main sur les tempes pour s’essuyer… mais là, débout à discuter en plein soleil, en dépit de ses efforts, la transpiration ne lui donne pas de répit… Et c’est là que le beau mécano a ce geste, un geste d’une inconscience qui n’appartient qu’à ce style de mec, le style « nature », qui ne cherche pas à s’exhiber, qui n’a pas d’arrière-pensées… et qui ne mesure pas la portée de certains de ses actes dont il ne se rend d’ailleurs même pas compte… Le bogoss a chaud, son front dégouline de sueur… alors, dans l’absolu, le geste est naturel, évident, pratique, instinctif… pourtant… tellement chargé d’images et de fantasmes à mes yeux… Tout se passe en un éclair… les doigts se portent sur le bord inférieur du t-shirt… le coude se plie, au même temps que le buste… le coton se soulève, le cou s’incline, le front se pose sur le tissu pour y être épongé… geste naturel, anodin, presque enfantin… Ça ne dure qu’un instant, avant que les doigts ne relâchent le tissu, que ce dernier retombe sur le jeans et que le buste se relève, que tout revienne à la normale… mais pendant ce court instant, le temps s’est arrêté pour moi… à partir du moment où je me suis rendu compte des conséquences et des possibilités offertes par son geste, tout s’est passé comme au ralenti… Mes yeux ont filmé la courte scène en HD et chaque ...
... image est imprimée dans mon disque dur… Voilà la scène… le tissu commence à monter, dévoilant dans l’ordre, la partie haute de sa braguette, un joli rebondi derrière la toile, le bouton haut du jeans, presque totalement caché par une belle ceinture noire de mec… les millisecondes s’égrainent et le rideau de coton continue de monter… le spectacle vient juste de commencer… on passe du noir de la bande de cuir à une couleur plus claire… sa peau… et, comme une piqûre dans le ventre, l’apparition d’un alignement de poils régulier, assez large, fourni, des poils qui ont l’air par ailleurs très doux… et ça continue de monter… l’horizon s’ouvre sur le bas du torse du beau mâle… le territoire vallonné de ses abdos commence à se profiler… mon regard rencontre bientôt la dépression de son nombril, moins marquée que celle de mon beau brun, mais non moins érotique à mes yeux… ça remonte encore, et ses abdos se dévoilent presque dans leur intégralité… et là… Et là… BAM ! le rideau tombe brusquement… circulez, rien à voir… Mais, putain… comment s’arrêter en si bon chemin ? Putain, mec… t’as chaud… ne te gêne pas… ôte carrément ton t-shirt… on est entre potes, oui ou quoi ? Envie de voir en entier ce torse de fou… ces épaules larges, ce cou puissant de petit taureau complètement dénudé… ses tétons diaboliques que j’ai vu pointer derrière le tissu tendu… ALLEZ !!! laisse-moi te voir torse nu intégral… laisse-moi te regarder en train de passer ton t-shirt partout ou la transpiration te gêne… ...