De la jalousie au candaulisme - 2
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
campagne,
cinéma,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Nous nous remémorâmes bien souvent ce massage. (1) Ce n’était pas parce que l’amour n’était plus présent qu’il nous fallait ça, mais pour sortir de la routine établie par ces dix-huit ans de copulation où, l’un et l’autre, ne cherchions plus vraiment à faire l’effort de faire comme avant. C’est un peu cru penseront certains, mais il ne faut pas se voiler la face… c’est quand même un peu ça ! Il fallait en finir avec la politique de l’autruche. Il fallait que je lui avoue sans honte ce côté voyeur, candauliste en puissance qui voulait aller plus loin et tenter de nouvelles expériences ; il fallait qu’elle m’avoue son côté exhib. Allez, petit restau, coin discret et c’est parti : — Reconnais ma chérie que tu aimes bien te montrer et la séance de massage avec « IL » ne t’a pas déplu.— Soit, mais reconnais, mon chéri, que ça ne t’a pas déplu non plus. Tu crois que je n’ai pas compris ton manège de voyeur ? Aïe ! Je rougis quelque peu, tel un gamin surpris en train de faire une bêtise. Pénétrer ainsi dans mon jardin secret me rendait mal à l’aise ; mais plus besoin d’avouer du coup ! Il ne fallait surtout pas réagir négativement et ne pas chercher à imputer la faute à l’autre. — OK, t’as raison ; mais les choses ont maintenant l’avantage d’être claires, tu aimes le faire, j’aime que tu le fasses… amusons-nous. Nous cherchâmes alors tout un tas de situations propices à cet accord érotico-coquin. Notre dévolu s’arrêta sur le gars Pierre, un paysan de notre connaissance avec qui ...
... nous avions sympathisé quand nous nous rendions chez des cousins proches dans la Sarthe. Visites occasionnelles desquelles nous repartions à chaque fois avec des denrées de la ferme. Faire plus bio… pas possible. Le gars Pierre, la bonne cinquantaine, n’avait guère de temps pour les loisirs, sauf pour ses oiseaux qu’il bichonnait dans une volière de sa composition située à deux ou trois mètres du sol dans sa grange. Deux ou trois mètres du sol, une échelle de bois, l’idée mûrit simultanément dans nos esprits. C’était parti. La miss s’habilla d’une jupette en jean et d’un corsage rose. Elle mit un string blanc et se passa de soutien-gorge. Il devait y avoir une petite dizaine de kilomètres de chez nos cousins à la ferme de Pierre, juste avant d’arriver dans la cour, la miss fit glisser son string et me regarda en me disant : — Quitte à ce qu’il mate, autant qu’il en profite, et puis le « rose » tranchera bien et fera un contraste avec le bleu de la jupe, tu ne crois pas ? Elle me sourit ironiquement ! J’imaginais déjà l’instant, mais n’anticipons pas… Je commençais à bander ! Content de nous voir, comme à l’accoutumée, Pierre nous accueillit avec convivialité. Tomates, salades, choux et bien d’autres venaient remplir notre panier. Ah, au fait, les œufs ! — Vous voulez des œufs ? Il faut aller dans la grange. Ça y était. Nous rentrions dans le décor de notre machiavélique plan exhibo-érotique. — Les poules se mettent là-haut avec les oiseaux. Venez avec moi, vous pourrez mieux les ...