De la jalousie au candaulisme - 2
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
campagne,
cinéma,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... touristes à forte domination Teutonne, ceux-ci se régalaient du spectacle et finissaient aussi par essayer. Mais eux achetaient, pas nous, si ce n’est des petits trucs à deux balles. L’autre avantage, c’est que ces dames n’hésitaient pas non plus à y aller de leur exhib, parfois bien poussée, l’alcool aidant. Je terminerai ce second récit par le must de l’exhib (selon moi), prouvant que l’élève commençait à dépasser le maître. La rue Saint-Denis est remplie de petits théâtres érotico-pornographiques. Nous décidâmes d’y aller un soir. Ce genre de lieu est petit, très petit : trente à quarante places, au maximum. À ma grande surprise, la gent féminine était beaucoup plus présente que j’aurais pu le penser : 10/12 femmes pour 15/20 hommes. Je ne m’étendrai pas sur le scénario du spectacle et n’ironiserai pas en disant que c’était sans queue ni tête. Les acteurs, si on peut les nommer ainsi, vous collent en moins de deux, des complexes au point qu’on n’ose plus aller acheter un paquet de cigarettes…humour. Ouaouh, si ce sont sous ces critères qu’ils sont auditionnés, beaucoup d’entre nous ne sont pas près d’être star, moi le premier…toujours humour. Je ne reviendrai pas sur le pseudo-spectacle, mais à la fin de celui-ci, l’animateur principal propose à l’assemblée de pouvoir, façon de parler, s’exprimer sur scène pour ceux qui le désirent. Là, c’est le blanc général, personne ne bronche, quoique certains se regardent et hésitent. Devant la pénurie d’acteurs amateurs, l’animateur ...
... en remet une couche : — Vous pouvez faire autre chose qui vous plaît, rien n’est obligatoire, laissez mûrir vos fantasmes lesbiens ou exhibitionnistes. Bip, bip, l’action s’engageait : — Tu serais cap’, ma puce, de te faire déshabiller et exhiber par un autre que moi, sur scène ?— Oui, à condition que le monsieur soit raisonnable et qu’il ne mette pas ses doigts partout. J’étais bluffé. Je me levai donc et fis l’annonce suivante : — Mon épouse, à côté de moi, veut bien vous faire une petite exhibition, guidée par un monsieur de cette assistance, monsieur qui devra avoir la délicatesse de la déshabiller et pas l’impudence de laisser ses doigts traîner abusivement. C’est un homme aux cheveux blancs qui se leva le premier. On pouvait lui donner entre soixante-cinq et soixante-dix ans. La rangée de fauteuils franchie, il prit la belle par la main et, très galamment, l’invita à monter les marches qui menaient au plateau de la scène. Plus ça allait, plus je bandais. Le décor se limitait à un sofa, deux ou trois chaises et quelques poufs posés ça et là. Une petite estrade d’une cinquante de centimètres offrait un podium de fortune. C’est sur celui-ci que se retrouva ma douce, après l’invitation de son cavalier, complice de l’instant. Ce dernier était un bel homme avec beaucoup de classe. Il la fit mettre dos au public, puis souleva avec une lenteur calculée la jupe de sa compagne de scène. De sa main gauche, il remontait très doucement, le haut des bas apparut, puis on découvrit le ...