Le train des chaleurs (1)
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... poitrine, qui ne semble pas volumineuse mais qui j’en suis sûr, est au moins aussi bandante que le joli petit minou blond qui est à quelques dizaines de centimètres de mes yeux et qui se fait pénétrer par les grands doigts agiles de son mari. Les bretelles de sa robe sont nouées avec un nœud de chaque côté. Elle ne semble pas porter de soutien-gorge, car se sont les seules bretelles qui apparaissent. Je me penche alors doucement et approche mes doigts des nœuds et la regarde pour voir dans ses yeux si elle m’autorise à les défaire. Elle est un peu surprise, mais ne dit rien. Elle regarde coquinement son compagnon, je le regarde aussi et il ne s’oppose pas à cette manœuvre. Je défais alors élégamment un premier nœud, profitant d’effleurer son épaule et le haut de sa poitrine, puis je défais le second. La robe recouvre toujours ses seins, je lâche les cordelettes des bretelles, et reprends ma place contre le dossier. Je ne sais pas encore qui d’elle ou lui va m’offrir la vue de son intime poitrine, mettre à jour ses seins encore inconnus, dont la première vision est toujours aussi troublante. Que c’est bon de faire durer les plaisirs, de les mélanger. Les caresses, les regards, ses cuisses, sa merveilleuse petite chatte, l’excitation, la situation, la beauté de cette inconnue. La belle remue, gigote, et sa robe descend sur la naissance de ses seins, qui à ma surprise laisse voir un creux profond. Ils sont bien ronds, ni trop gros ni trop petits, juste parfait et chaque ...
... seconde, j’ai droit d’en voir un peu plus. Bientôt, il n’y a plus que ses tétons hyper tendus qui retiennent le tissu, à quelques millimètres de la délivrance. J’ai la main gauche qui caresse sa cuisse et avec la droite, je me branle de plus en vite en serrant très fort ma grosse pine que la déesse blonde ne lâche plus des yeux. J’attends le bon moment pour exploser. Elle ne cesse pas de se toucher, d’embrasser son amant, en se fourrant des doigts dans la chatte de plus en plus loin et titillant frénétiquement son petit bouton de plaisir. Elle gémit de plus en plus fort, je sens qu’elle va venir, elle y est presque, et dans un mouvement brusque sa robe tombe tout à coup et je me retrouve nez à nez avec ses deux superbes seins d’une perfection infinie, dont les belles auréoles très claires qui se balance de droite à gauche me regardent droit dans les yeux. Au centre, je découvre des tétons bandés à souhait et d’une longueur inouïe. J’ai envie de les prendre entre mes lèvres, de les pincer délicatement, de les mordre tout doucement en les suçant de toutes mes forces. Mais je ne peux pas. J’arrive à me retenir, je ne sais comment. J’accélère les mouvements de mon poignet, je me masturbe à fond, elle regarde ma queue, son mari la branle, je regarde ses doigts aller et venir au plus profond de ses entrailles, elle se pétrit littéralement les seins et se mordille le coin de sa jolie bouche. Ses cris se font de plus en plus fort, je sens qu’elle vient, que je viens, je me tends, et dans ...