Gisèle, le retour (1)
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gisèle, du haut de ses 64 ans, commençait à être connue dans le milieu. Le succès de Clarisse, son nom de scène dans «Mamie dans la tournante », lui permit d’entrevoir d’autres propositions. Déjà, il y avait « Granny productions » qui se tenait prêt à la faire tourner, dans tous les sens du terme. Toujours 1M65 et 50 kgs, son allure adolescente en totale contradiction avec son âge, son corps parfaitement entretenu par le fitness plaisaient énormément. Elle retourna chez Blanquart pour refaire son pressbook. Elle voulait faire plusieurs sets de photos et lui demanda conseil. Le photographe lui conseilla, en amont des clichés, de « personnaliser » davantage son corps comme il disait. Ce que faisaient beaucoup de stars du porno, certes beaucoup plus jeunes qu’elle. Elle devait avoir une allure spéciale qui attirerait l’oeil. Il lui conseilla de tirer profit de son anatomie frêle en l’exagérant. Il lui dit également que le créneau plus rémunérateur sur le marché était celui du fétichisme. Elle décida de tailler ras ses cheveux gris et de se faire épiler la chatte comme les pros. Puis elle prit sur ses économies et alla voir un tatoueur. Celui-ci lui grava un « Clarisse » autour du sein gauche, avec un C assez imposant, lettrage style Coca Cola. Elle eut également recours au piercing . Elle portait maintenant un petit anneau d’or au dessus du clitoris et deux autres en travers des tétons. Elle décida aussi d’entamer un régime strict, modèle mannequin, pour modifier son apparence ...
... . Au bout de quelques semaines ses joues s’étaient creusées, ses seins avaient quasiment disparus, ses côtes et ses hanches saillaient, son ventre était totalement creux et elle pouvait passer quatre doigts entre le haut de ses cuisses. Ses fesses étaient devenues plates et les dernières vertèbres apparaissaient au dessus de son anus qui semblait plus large et plus enfoncé qu’auparavant. C’est ainsi qu’elle retourna voir Blanquart. Celui-ci la félicita pour son allure et fit plusieurs sets de photos, chaque fois habillée, déshabillée, style « Avant, après ». il lui conseilla de créer un site payant et de mettre en ligne plusieurs clichés pour appâter le chaland. Comme elle n’était pas experte, il la renvoya vers un pro. Un mois après « Skinny Clarisse, la mamie maigre » était opérationnel. Il proposait plusieurs sets où on voyait Gisèle en mariée, en pute, en avocate et bien d’autres tenues. Bien sûr il fallait payer pour la voir se dénuder progressivement. Elle proposait aussi des séries sur mesure pour qui était prêt à y mettre le prix. Chat privé avec webcam également, son business s’organisait progressivement. La plupart des demandes réclamait des mises en scène dans des tenues cuir ou latex. Blanquart avait eu raison. La demande évolua, accessoires SM, mise en scène avec d’autres personnages. Gisèle décida de suivre le marché, sa retraite de fonctionnaire représentait maintenant son argent de poche. Elle contacta « Granny Productions » qui moyennant quelques sous, lui ...