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Gisèle, le retour (1)
Datte: 18/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... seins, le ventre, les cuisses et les fesses de Gisèle. Les jambes bien écartées celle-ci reçut pour finir quelques coups bien ajustés sur ses grandes lèvres. Coupure. Gisèle souffla un peu car les coups n’étaient pas simulés. Certains avaient laissé des traces sur sa peau et elle se passa de la Xilocaine pour atténuer les brûlures. La séance reprit. Marytsa lui attacha des poids aux mamelons par l’intermédiaire des anneaux et l’obligea à se balancer d’avant en arrière pour étirer les tétons. Elle renouvela l’opération avec des pinces posées sur le sexe de Gisèle, poids plus lourds cette fois. Les grandes lèvres saillirent de plusieurs centimètres entre les cuisses maigres de la sexagénaire, qui dût se livrer à quelques flexions sous les invectives et les claques de la grosse. La dernière étape fut celle du tabouret. Gisèle la chatte et les mamelles toujours distendus par les poids dut s’asseoir cuisses écartées, sexe offert, sur le fameux tabouret. Il avait une particularité : évidé sur le devant il comportait un mécanisme à bascule qui permettait en appuyant avec ses pieds de faire monter et descendre verticalement sur une trentaine de centimètres toutes sortes de godes fixés sur le support prévu à cet effet. Gisèle s’installa tandis que Marytsa choisit dans la panoplie qui s’offrait à elle un phallus noir totalement hors normes de par sa taille et son diamètre ; c’était la réplique d’une bitte de cheval. Gisèle dut se lever pour que la grosse arrive à fixer l’objet sur son ...
... support. Le braquemart dépassait largement du tabouret en position basse. Gisèle plia les genoux pour approcher progressivement l’objet de sa vulve. Elle se frotta lascivement sur le gland de latex pendant quelques instants puis essaya de le prendre. Marytsa guidait de ses doigts le mastodonte sur la fente de l’anorexique tandis qu’elle la branlait, crachant épisodiquement sur sa vulve. C’était trop gros! La grosse le constata rapidement. Enduisant sa main de vaseline elle massa avec vigueur l’entrecuisse de Gisèle, puis continua son effort à l’intérieur du vagin faisant pénétrer autant de lubrifiant qu’elle pouvait. Finalement elle barbouilla abondamment la tête du gode de matière. L’exercice reprit . Gisèle amena sa vulve contre le gland artificiel et se laissa descendre millimètre par millimètre. Marysta tira sur les pinces qui tenaillaient toujours les grandes lèvres de Gisèle. Elle les écarta au maximum pour favoriser le passage. Gisèle suait à grosses gouttes, ses chairs distendues au maximum. La bitte artificielle bloquait encore, puis les muscles cédèrent. Sous la douleur Gisèle se mit à se pisser dessus. Le liquide se répandit partout. « Mamie maigre » s’ouvrait progressivement . Elle arriva à poser ses fesses sur le siège du tabouret et souffla une peu. Sa vulve avait ingurgité une dizaine de centimètres de plastique. L’énormité de l’objet contrastait avec la maigreur du sujet. Gisèle posa ses pieds sur les pédales, ce qui poussa le gode vers le haut. La pénétration ...