1. Les classes (1)


    Datte: 18/07/2021, Catégories: fh, extracon, uniforme, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, historique, humour,

    Janvier 1998, la nouvelle tombe, la France a besoin de moi, je vais rejoindre uneterra incognita le monde militaire pour effectuer mon service. Ce n’est pas de gaieté de cœur mais je ne puis me dérober à la charmante invitation. Je suis un peu assommé quand j’arrive dans la caserne où je vais effectuer mes classes. J’ai l’inigne honneur d’être aviateur seconde classe. Pour ceux qui ne connaissent pas l’armée de l’Air, je ne piloterai pas un mirage (tel le top-gun moyen qui a fait tant fantasmer) ou dans mes mirages les plus fous. Enfin je vais enfin devenir un homme et non pas « une tarlouze », sainte horreur de l’establishment militaire sans doute une hantise de l’homosexualité mal refoulée. Je me préparais à des jours sombres dans un environnement qui me paraissait hostile (ce n’est pas une attaque anti-militariste car certains s’épanouissent dans ce monde mais moi non). Les premiers jours furent des plus banals et monotones à savoir la prise du paquetage, la visite médicale, l’affectation à six par chambre et l’apprentissage de la vie militaire. Dans toute cette grisaille pourtant la lumière fut… Après une journée entamée tambour battant à 6 heures du matin entrecoupée de trop nombreuses attentes dues à des G O pas très organisés, nous apprentis troufions eûmes le droit de retourner dans nos pénates. Enfin je pus bouquiner et m’envoler vers d’autres cieux avec « L’Abyssin ». Cette évasion fut trop courte car il fallut subir l’inspection des chambres. Je posai mon livre ...
    ... sur une table, rectifiai ma tenue. La porte s’ouvrit, une apparition surgit, de nombreux regards interdits saluèrent cette madone militaire. En effet, accompagnée de notre sergent, une charmante aspirante (ou plutôt lieutenant) effectuait cette corvée. Dans un monde majoritairement masculin, une femme belle de surcroît est assez rare pour que cela soit un événement. L’inspection se déroula sans anicroche. Mes compagnons et moi nous contemplions avec des désirs inavoués cette femme. D’ailleurs, son regard et son sourire démontraient qu’elle jouissait de ses regards de convoitise qui la flattaient. Notre émoi était légitime puisqu’elle était très bien faite de sa personne : des cheveux bruns ramassés en un chignon que l’on devinait faussement strict, une poitrine admirablement sculptée par un chemisier très sage mais qui laissait entrevoir de belles promesses… des seins à damner un saint. Il en était de même pour son postérieur que nous avions pu admirer quand elle nous tournait le dos pour vérifier que nous avions bien fait la poussière. Sa tenue attisait sans aucun doute nos pensées les plus folles, ah les femmes en uniforme… À la fin de l’inspection, son regard se posa sur le livre que j’avais laissé sur la table. Elle fut étonnée de trouver de la littérature à la place des revues people faussement sexy qui étaient l’apanage des appelés. — À qui est ce livre ?— C’est le mien.— Vous viendrez me voir demain matin.— Pourquoi ? Devais-je le ranger avant l’inspection ?— Je vous en ...
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