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Les classes (1)
Datte: 18/07/2021, Catégories: fh, extracon, uniforme, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, historique, humour,
... être ainsi je me retire, mais sachez que j’en suis tout meurtri.— Tout doux mon ami, je reconnais bien là votre caractère impétueux tellement affranchi, non conventionnel. De quoi vouliez-vous m’entretenir ?— Avez-vous lu le livre que je vous avais prêté ?— Vous concevez bien qu’une femme honnête ne fraye pas avec ces lectures qui ne sont réservées qu’à des courtisanes.— Je m’inscris en faux mais soit si telle est votre opinion. Cependant je vous engage vivement à lire ce texte car on ne critique bien que ce que l’on connaît.— Je vous promets de le lire et de vous en démontrer la fausseté.— Je vous laisse et vous salue bien bas. Faites-moi prévenir quand vous aurez fini votre lecture. Je sus plus tard par sa servante qu’elle avait fait bon usage de mon livre. En effet, dès mon départ elle commença sa lecture. Mon informatrice discrètement épia sa maîtresse qui ne fut pas exempte de tous reproches eut égard à sa qualité de femme honnête. Après avoir sagement commencé sa lecture, elle ne put résister à glisser une de ses mains sur son mont de Vénus pour se faire du bien. Elle se débarrassa fébrilement de sa robe de nuit pour être plus à l’aise. Elle caressa alternativement ses seins qui au demeurant étaient très sensibles et son joli abricot qui comme la rosée du matin luisait de perles scintillantes. La servante m’avoua que ce spectacle l’avait fort émoustillée et qu’elle aussi s’était caressée en regardant ce charmant spectacle. Elle avait même eu l’idée de proposer une ...
... partie fine avec sa maîtresse car si elle aimait le vit masculin ; elle ne dédaignait pas se rafraîchir à la source de la fontaine d’une femme. Elle écarta l’idée folle de sa tête ne pensant pas que sa maîtresse était encore prête. L’apprenant, je lui dis que je n’aurai pas souffert que mon plan échoue à cause d’elle. J’aurais été obligé de la punir par moult fessées et quelques coups de fouet. La donzelle me répondit qu’elle goûtait fort ces pratiques-là si ça restait un jeu réciproque et non pas de la violence pure. Je me fis la réflexion qu’elle était très garce et qu’elle avait une impudence fort rare. Je me promis d’essayer avec elle prochainement mais l’immédiat commandait que j’arrive à mes fins avec sa maîtresse, préséance oblige. Le surlendemain la servante vint me voir pour me prévenir que sa maîtresse me mandait pour lui rendre visite afin que nous puissions parler du livre que je lui avais prêté. Je sus, après le récit de sa servante, dès lors, que la partie était gagnée, quoiqu’il fallût que je sois prudent pour que cette femme ne s’effarouche pas et avoir un retour de vertu qui me serait préjudiciable. Sachant qu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud, je décidai d’aller lui rendre visite le lendemain. Le grand jour arriva, je mis des vêtements faussement négligés mais fort pratiques d’usage pour pouvoir les enlever facilement. Je me présentai au château et vis la servante qui m’annonça auprès de sa maîtresse et me conduisis à son boudoir. Nous nous assîmes ...