Cousin-cousine
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
poilu(e)s,
vacances,
amour,
cérébral,
revede,
BDSM / Fétichisme
confession,
Un souvenir de jeunesse qui remonte à la surface de ma mémoire. Je m’en étais fait une joie. Après mon beau succès au permis de conduire, j’allai passer quelques jours chez ces cousins lointains du côté paternel pendant que mes parents seraient en voyage, l’affaire avait été conclue. Un couple que j’aimais bien, mais chacun pour différentes raisons. Le mari était un petit homme jovial, sec et un peu rustre, mais dont j’appréciais les plaisanteries de pince-sans-rire qui me faisaient glousser. Elle, comment dire, c’était bien différent, des sentiments mêlés. Étais-je amoureux d’elle ? Bien sûr, un de ces amours platoniques dont les adolescents romantiques sont coutumiers, faits d’un mélange d’amitié, d’admiration et de tendresse. Mais surtout, je la désirais. Je rêvais en permanence de son corps et elle alimentait mes fantasmes depuis que sorti de l’enfance, je contemplais les femmes avec un autre regard. Pourtant elle avait presque trente ans de plus que moi, une différence d’âge nous situant dans des univers à des années-lumière de distance. Ou alors à cause de cet écart ? De nos jours une telle attirance serait diagnostiquée par les psys comme un syndrome quasi œdipien. En tout cas, elle représentait pour moi depuis longtemps le symbole vivant du désir de la femme, et je dois confesser qu’au sortir de l’enfance, c’était elle qui avait provoqué mes premières pollutions nocturnes. Et depuis, c’était en général elle qui alimentait les fantasmes et les scénarios sur lesquels ...
... je prenais mon plaisir, parfois jusqu’à trois fois par jour, d’après mes souvenirs, et sur lesquels j’aurai l’occasion de revenir. J’ouvre une parenthèse. Tant d’années après, avançant en âge, je me suis parfois posé une question au sujet de ces jeunes concupiscences pour de respectables dames mariées. Moi-même aujourd’hui époux d’une belle femme mûre, les jeunes gens que nous côtoyons ou qui la croisent ont-ils des pensées analogues pour elle ? S’imaginent-ils avec elle dans des scénarios érotiques, comme je le faisais à leur âge ? Rêvent-ils que leur plaisir soit prodigué par elle, de ses mains fines, de sa jolie bouche, comme elle le fait avec moi ? Ou mieux encore, fantasment-ils qu’elle les accueille entre ses cuisses pour qu’ils s’y déniaisent à grands coups de reins, qu’ils inondent son intimité de leur jeune semence ? Et qu’ils entendent ce dont je me délecte quand elle prend son plaisir, quand je sens les contractions des spasmes de son orgasme, ses soupirs, ses gémissements et les encouragements qu’elle scande à mon rythme, ses « oui, oui » « vas-y, vas-y, fort, fort » ? Je ne le saurai jamais, les fantasmes de chacun restent secrets bien gardés. Mais à cette idée, évoquant ces possibles pulsions juvéniles pour une femme qui pourrait être leur mère, un sentiment bizarre m’envahit. Non, je n’en suis pas jaloux, bien au contraire, et le désir que j’ai pour elle s’en trouve encore augmenté… Serais-je sur la pente du syndrome d’exhibitionnisme conjugal, qui pousse des ...