Cousin-cousine
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
poilu(e)s,
vacances,
amour,
cérébral,
revede,
BDSM / Fétichisme
confession,
... cacher ailleurs. C’était l’image que je m’en faisais à l’époque, une théorie justifiée ensuite par l’expérience : l’aisselle serait une sorte d’antichambre de la culotte… et la découvrir permettait d’imaginer le fameux triangle, cette toison intime objet de mes fantasmes, qui symbolisait le sexe féminin. La couleur et la texture pileuse de l’aisselle fournissait des indications pour fantasmer sur celle du bas-ventre de la femme. Le jour de mon arrivée, la cousine portait une robe de tricot assez moulante pour révéler au fil de sa démarche les mouvements de sa lourde poitrine, malgré le soutien-gorge qui se dessinait dans le dos sous la maille. Ah, ses seins ! Combien de fois je les avais imaginés. J’essayais d’en deviner la forme, le poids, leur profil une fois libres sans le carcan de ces balconnets, qui à la fois me brimaient et m’échauffaient quand je pouvais en apercevoir les bords en dentelle. Je guettais les instants où on l’on pouvait distinguer sous un corsage léger, à travers les bonnets, le relief d’un bout de sein fripon, évoquant les belles tétines qui devaient se cacher là. Comment étaient-elles ? Je tentais d’imaginer leur taille, leur couleur, ce que l’on pouvait ressentir en les tétant, en les léchouillant, en les mordillant. Et en été, bien sûr, que dire des décolletés ! Elle ne pouvait ignorer que même quand elle me dévisageait de ses beaux yeux noisette, les miens ne pouvaient s’empêcher de glisser un instant vers le sillon de ses seins pulpeux, dévoilé ...
... par l’échancrure du chemisier ou de la robe. À d’autres moments, c’était quand elle se penchait que le spectacle valait la peine, dévoilant parfois, au-delà de la peau hâlée de son buste, pimentée de petites taches de son, le secret des globes laiteux palpitant dans leur dentelle. Il y avait à ce sujet une anecdote que je n’étais pas près d’oublier. Elle s’était déroulée durant l’été précédent, un jour où nous étions en famille en visite chez eux. Dans le jardin, elle discutait littérature avec mes parents et m’avait soudain demandé comme un service de monter dans sa chambre chercher le bouquin dont elle leur parlait. — Tu le trouveras facilement, il est sur ma table de nuit. En entrant dans la pièce, j’avais tout de suite vu le livre, mais aussi aperçu autre chose. Posé sur la chaise, abandonné là, un soutien-gorge, blanc, brodé, garni de dentelles, affriolant… Je ne pouvais pas m’attarder, quelqu’un pouvait surgir à l’étage, et il fallait redescendre, elle m’attendait, mais j’avais trop envie de profiter de cette occasion. Juste le temps de saisir l’objet de ma convoitise, de mettre les mains autour des bonnets pour avoir la sensation que je pétrissais ses nichons, que j’en sentais le poids dans mes paumes, de respirer les restes de parfum, de balader à l’intérieur mon nez, ma bouche, ma langue sur ce qui avait contenu ses bouts de seins, le gauche, puis le droit… Et si traînait là aussi une culotte du même genre, dont je pourrais faire le même usage, en poussant plus loin ...