1. Cousin-cousine


    Datte: 18/07/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, amour, cérébral, revede, BDSM / Fétichisme confession,

    ... tourna vers moi, surprise, et dans un geste de pudeur instinctive elle croisa ses bras devant ses seins, non sans que je puisse en apercevoir un instant les larges tétines, qui me parurent énormes. — Oh, tu m’as fait peur, tu étais là, je ne t’avais pas vu…— Euh… oui, je lisais… Elle ne pouvait que s’apercevoir de ma confusion, je devais être tout rouge, par bonheur assis pour cacher mon excitation. Et là je ne pus empêcher mes yeux de descendre et s’attarder un instant sur le bas de son ventre, où à travers le tissu arachnéen je distinguais le triangle sombre de sa toison, qui me parut dense et fournie. Le triangle de mes désirs, qu’elle me révélait ainsi, tout aussi féminin qu’impudique. L’instant ne dura peut-être qu’une ou deux secondes, car se tournant à nouveau vers la porte, elle marcha sans rien dire vers le couloir et disparut à nouveau derrière le paravent. Une fuite, me laissant là penaud, excité et honteux. Ma tête fourmillait de questions. Sa chemise de nuit lui donnait une allure bien plus indécente et érotique que si elle avait été juste à poil, nue devant moi. Que faisait-elle ainsi ? Quel était son jeu ? À quelles sardanapales se livrait-elle la nuit ? C’était pour mieux exciter son mari qu’elle se baladait ainsi ? Ou alors c’était lui qui l’obligeait à cette exhibition pour se rincer l’œil ? Qui l’avait envoyée se balader dans le reste de la maison pour se montrer ainsi ? Et quelle allait être l’attitude de la belle cousine à mon égard après une telle ...
    ... expérience ? Dans un réflexe de pudeur de femme effarouchée, elle avait bien tenté de cacher ses seins. Mais elle me regardait quand j’avais baissé les yeux vers son ventre, elle ne pouvait ignorer que j’avais regardé sa chatte, qu’elle m’exhibait à travers la fine chemise de nuit. Sans compter son cul que j’avais pu vraiment mater tout le temps qu’elle m’avait tourné le dos ! En fait, deux heures après, en apparence, rien que de très naturel. Au petit-déjeuner, pris un peu tard ce jour-là dans la salle à manger, elle était déjà habillée et élégante, vêtue d’un pantalon et d’un chemisier, évoluant en toute sérénité dans la pièce, perchée sur de hauts talons qui lui cambraient les reins, laissant derrière elle la traînée de son parfum. Mais était-elle vraiment comme d’habitude, comme si rien ne s’était passé ? Elle paraissait à l’aise, mais était-ce une impression ou bien elle me souriait encore plus ? Et ses joues n’étaient-elles pas un peu rosies, signe d’un certain trouble, quand elle me regardait ? Et moi ? Je me sentais gêné, certes, un peu confus, mais surtout je ne la voyais plus avec le même regard. Je ne pouvais m’empêcher de regarder sa poitrine, bridée dans le soutien-gorge, en me rappelant que j’avais vu le matin même ses seins nus et libres, et son postérieur, moulé dans le pantalon, dont je connaissais maintenant cette raie des fesses si désirable. Et surtout ce ventre un peu bombé de mère de famille, ce ventre lisse au bas duquel je savais maintenant situer une ...
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