Trois bouches pour un baiser
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
grp,
nostalgie,
Partouze / Groupe
À cette époque, je ne sais plus si c’était par dégout ou par ennui, je fuyais les histoires d’amour. J’aimais perdre mon temps dans ces nuits parisiennes où personne ne sait ce qu’il va trouver mais où chacun sait ce qu’il cherche… J’avais ce soir-là Nathalie pour compagne, elle était ma douce amie, nous avions entre nous des élans de tendresse et une complicité qui nous poussaient à partager nos fantasmes et nos caresses. Ce dont je me souviens, c’est de sa peau d’une blancheur immaculée comme si jamais le soleil ne l’avait effleurée. Chacune des expressions de son visage et son corps tout entier semblaient faits pour les caresses. Je me disais souvent, comme pour beaucoup de mes conquêtes, qu’elle était trop belle pour moi et j’en tirais une joie sauvage chaque fois que je la prenais. Ce soir-là, nous étions à un concert de je ne sais plus qui et nous avions sympathisé avec Mathilde, une jeune et jolie demoiselle. Si elle avait 20 ans, ce ne devait pas être depuis bien longtemps et elle ressemblait à ces jeunes bourgeoises timides et délurées qui m’ont toujours fait rêver. En ce temps-là, tout le monde aimait venir chez moi et c’est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés dans mon appart pour prendre un verre, il faisait encore très chaud dans ce beau soir d’été. Ravi de me retrouver en si délicieuse compagnie, je servais à volonté les kirs et un petit vin frais, j’aime les yeux des femmes quand elles ont un petit coup dans le nez. Moi je commençais à ...
... craquer sérieusement pour la jeune demoiselle et, si ce n’était ma trop bonne éducation, je l’aurais bien culbutée à l’instant. Plongé dans ces lubriques pensées, je voyais bien qu’entre les filles quelque chose était en train de se passer, ma compagne de débauche ne cessait de complimenter Mathilde, sur son charme, sa beauté et même ses jolis souliers. Et en parlant, elle lui prenait souvent la main sur laquelle elle déposait un petit baiser, et souvent elle riait en lui disant « Tu es trop jolie ! » et en l’embrassant au coin des lèvres. Tout cela paraissait bien charmant et presque innocent, jusqu’au moment où je remarquai que leurs doigts cette fois étaient restés croisés. Ce fut Nathalie qui osa la première, elle prit Mathilde par la main et l’amena tout contre elle pour déposer sur son visage et contre sa bouche des milliers de baisers. L’autre, la charmante, n’offrait pas beaucoup de résistance, se laissait faire en rougissant seulement un peu. Ce fut pourtant elle qui la première glissa sa langue dans la bouche de Nathalie. Toute occupée à ses caresses et à ses baisers qu’elle déposait maintenant sur les seins de Mathilde, elle releva la robe de nôtre ange déchue et je compris en voyant ses fesses nues et sa culotte descendue que c’était à moi que Nathalie offrait ce cul sublime, au-dessus duquel les plis soulevés de la robe formaient maintenant comme une auréole. Je m’approchai et je sentis nos doigts mêlés qui se trempaient de rosée en allant et venant dans sa petite ...