1. Trois bouches pour un baiser


    Datte: 18/07/2021, Catégories: grp, nostalgie, Partouze / Groupe

    ... ruisselait, chacun de nous a pris ce qu’il voulait prendre, nos doigts et nos bouches se croisaient, se rejoignaient, l’une léchait ma queue et l’autre la prenait pour la guider vers son intimité, nous jouissions dans l’une et cela coulait sur les autres. Nous étions trempés et heureux, de nous retrouver là, livrés à nos jeux, sans personne pour nous juger, je voyais le visage de Marco, il avait l’air plutôt content d’être là. Je voyais bien qu’il s’attardait un peu plus sur la bouche et les seins de Virginie et que pour elle ses baisers étaient plus tendres, on savait tous qu’il en était un peu amoureux et quand par jeu je prenais sa chatte ou son cul, il était toujours là pour l’embrasser et leur baiser était si tendre que j’en étais ému, ravi et un peu jaloux. Moi, ma chouchoute c’était Amélie, nous en avions fait la reine de nos fêtes galantes, nous aimions tous en elle sa façon de s’abandonner, de se livrer totalement à celui ou celle qui la prenait. Il y avait dans cet abandon quelque chose qui me bouleversait, alors que n’importe quel crétin aurait trouvé pour elle des mots qui blessent, je la voyais comme une âme romanesque, une amoureuse authentique qui savait jouer mais n’aimait pas tricher, le mal, la méchanceté ou la ruse étaient étrangers à sa nature et si ...
    ... elle se donnait avec tant de générosité, c’était juste sa façon d’aimer. Sa chatte adorable était un temple devant lequel je me dépouillais de tout sentiment de honte et de toute dignité. Son cul, rond potelé et gracieux m’inspirait les sentiments les plus contraires, j’étais la bête et le bon dieu, je me faisais sauvage et restais respectueux, je le prenais souvent mais toujours avec d’infinies caresses et de douces attentions. Quant à Sophie, elle était la copine de jeux, toujours curieuse et toujours ravie, ses joies étaient simples, une queue à sucer, une chatte à aimer et quelques mots gentils qui ravissaient son cœur de midinette. La prendre était toujours une fête et un bonheur et rien n’était plus beau que son visage radieux quand elle sentait que vous étiez en train de jouir en elle et qu’elle fermait ses beaux yeux pour mieux sentir tout le bien que vous lui faisiez. Les temps ont changé, l’amour n’est plus ce qu’il était et il me reste avec quelques jolis souvenirs un peu de nostalgie de ce temps oublié où pour vous prendre il suffisait souvent de vous parler. Mes compagnes et mes tendres coquines doivent être aujourd’hui des mères de famille sages et bien rangées, mais je suis sûr que parfois au creux de leur lit un doux frisson les prend au souvenir de nos folies… 
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