1. La prof


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, inconnu, profélève, Oral pénétratio, portrait, amourdura, h+prof, voiture,

    ... cheveux derrière ma tête pour que je le regarde. J’ai vu des yeux, bleu acier. J’ai vu son sourire, tendre, et j’ai accepté son baiser, chaud et doux. Il n’y avait plus personne autour de nous, même pas de musique. J’avais l’impression de revivre mes premiers émois amoureux, mes premiers pétillements dans le bas-ventre. En un instant, sans trop savoir pourquoi, je me suis ressaisie en m’écartant un peu de lui. — C’est un peu précipité tout ça, lui dis-je à l’oreille en me soulevant sur la pointe des pieds.— Je trouve aussi, mais il faut profiter de l’instant.— Mais tu es très jeune…— Toi aussi tu es très jeune.— Tu es gentil, mais je pourrais être ta mère.— Tu exagères ; je te trouve très belle.— C’est flatteur, merci, mais on va en rester là.— Tu as peur de quoi ?— De faire quelque chose que je pourrais regretter.— Et si tu regrettais de ne pas l’avoir fait ?— Un point. Je ne connais même pas ton prénom.— Louis.— Enchantée, Louis.— Et toi ?— Martine. Un prénom de vieille— Martine va en boîte, Martine est jolie, Martine couche avec Louis…— Tu te trouves drôle ? Il a repris mes lèvres, m’a serrée à nouveau contre lui, comme pour me rassurer. J’ai senti ses mains parcourir mon dos, me presser contre lui. J’ai senti son torse presser mes seins, sa main remonter contre mon cou, son autre main caresser le bas de mon dos, sa virilité contre ma cuisse. Puis j’ai vu Emma, de loin, me faire signe qu’elle partait. Nous sommes restés encore un moment à danser, comme si nous étions ...
    ... seuls au monde. Quand Louis m’a proposé de partir, je savais que j’allais le suivre, ou qu’il m’accompagnerait chez moi. Ce que je ne savais pas, c’était qu’il avait sa voiture garée à proximité et que nous n’attendrions pas pour trouver un lit qui nous accueillerait. Sentir à mon âge qu’un jeune qui n’a que l’embarras du choix vous a choisie, vous, est infiniment valorisant. Peut-être est-ce ce sentiment qui m’a animée lorsque dans le parking souterrain il est allé à la découverte de mon corps, qu’il m’a ôté ma culotte dans les escaliers, que tout en m’embrassant à pleine bouche il a mis sa main entre mes cuisses pour découvrir mon humidité. Peut-être est-ce pour ça que je me suis laissé faire, que j’ai ôté sa ceinture pour glisser ma main sur son sexe, que je me suis allongée bien vite sur la banquette arrière de sa voiture pour qu’il me prenne tout de suite. Sentir Louis m’honorer de sa vigueur fut un moment inoubliable, comme le fut celui de sa jouissance, simultanée à la mienne, violente et profonde, libératrice. Nous sommes allés chez moi, dans mon petit appartement de célibataire temporaire, pour enfin nous découvrir nus. Jamais je ne m’étais sentie aussi belle que devant ses yeux gourmands. Il n’a pas cessé de me complimenter sur mon grain de peau, la forme de mes cuisses pourtant ramollies, le bombé de mes fesses un peu tombantes, l’arrondi de mes seins devenus un peu flasques, l’étroitesse de ma chatte effectivement étroite. Il m’a avoué avoir eu des aventures avec des ...
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